Carnet de bord de Octobre 2018 | Partager sur Facebook |
On sait vraiment plus quoi inventer pour se faire remarquer. Même la calendrier se met à vouloir faire l'original, on est passé directement de la case été, à la case hiver, une année low cost à 3 saisons. Rien ne va plus. Heureusement, on a gagné 1h de week end supplementaire et ça c'est bien. Le temps de marcher les à peine 200m pour aller au boulot et je suis trempé, limite groincheux, mais au fond je suis quand même bien content, les jardins en ont vraiment besoin, il était quasi temps que ça arrive. A 6h36 je décolle, direction Eybens.
Comme vous l'avez remarqué, nous sommes en période de vacances scolaires, jeudi c'est férié et à priori ça devrait bien passer pour aller à Eybens. C'est vrai que ça a bien roulé jusqu'à Veurey, mais après il aura quand même fallu 30 minutes pour faire les 15 derniers KM, Grenoble, c'est diablerie. Heureusement ça va super vite pour livrer. Par contre le trou de balle des services techniques qui a fait poser des bordures au milieu de la chaussée, j'éspère qu'il finira brulé vif sur un bucher lors des manifestations populaires du 17 nov. Faut vraiment être taré pour faire des trucs pareils dans une ZI. De là, je reviens sur mes pas chez Schenker St Egrève, accueil glacial, un chef qui se prend pour le patron de DB Schenker GMBH, me dit que je sers à rien que tous les camions sont partis en livraison. Moi c'est marqué en GRAS sur mes papiers : Livraison 9h30/11h. Alors hein, poupougne et il est 9h. En plus ici les quais sont vraiment pourraves, si tu tapes à quai, t'arraches les portes, du frigo, et même en taut je suis pas certain que ça passe. Ici c'est Germinal, il y a des tableaux electriques avec fils apparants, ben dis donc, c'est pas la DB Deutsh Kalitat.
Le principal c'est qu'en un peu moins d'une heure ce soit dechargé. Cap ensuite sur Le Mottier petit bled de cambrousse au dessus de La Frette, je livre une perceuse colonne dans un atelier de feraille en plein centre du village, l'accès est un peu tordu pour un lundi matin, mais les gens sympathiques. Moi qui pensais ensuite continuer mes livraisons tranquille, c'est raté, retour à la base logistique Duarig quai 2. Il tombe une éspece de neige fondue, les routes sont grasses comme des frites belges et c'est toujours aux endroits les plus étroits que je croise noir de monde, genre dans la grande ligne droite de Primarette, là ou on milieu on peut taper des records de vitesse.
On vide tout et j'hérite d'un presque complet à vider foulée à Celra. J'ai les heures, mais va pas falloir molir. C'était pas le moment de passer par La Fageolle pour faire du tourisme, j'ai finit par me radiner à 19h00 à Celra, ici en principe ça va vite, et ça a été vite, quand je suis remonté dans mon FH500IV Business Class ***** il était 19h39, le temps d'aller me poser chez Nalco, 19h44. Donc si vous avez bien lu ça fait 13h08 d'amplitude, je la compte quand même pour 11h de coupure va te faire fodes RSE.