| Carnet de bord de Juillet 2018 | Partager sur Facebook |
La serveuse s'excuse, elle n'a que des croissants au chocolat. Nan ben t'inquiète, ça me va parfaitement. La douche est à la station service, je file mon ticket du repas d'hier soir, douche gratuite. Et en plus c'est nickel propre. Je pense que je reviendrai.
A 9h pétantes je suis à Santa Perpetua, je passe voir Béa la standardiste, elle m'ouvre, je me vide, un coup de tampon sur le CMR et zou ! J'ai mon taf depuis hier, je remonte charger à Perpi.
En chemin j'appelle Mercedes Besançon, eux s'appellent pompeusement Étoile 25. Pour la rapidité sur la commande des pièces détachées j'aurais dit Escargot 25.
Je m'arrête en vitesse à La Jonq' pour du gas-oil et des clopes pour une fille de chez Wat. Je me prends un bout de pain, je ne résiste pas, je me prends un Valdepeñas Gran Reserva. Pour moins de 3€ ça vaut un bon Côtes du Rhône. Le 2008 était une tuerie, je n'en trouve plus, on est passé au 2013, je n'en prends qu'une bouteille pour goûter.
A 13h je suis à Cases de Pène, c'était du boulot Buffa, devenu Jeantet Pontarlier et justement on charge pour Pontarlier. Généralement ici il n'y a pas grand monde...aujourd'hui j'ai cinq camions devant moi, et un Espagnol qui fait une navette, il nous passe devant...
A 15h40 je m'en vais lesté de 27t et des boulettes. Grosses boulettes. Je ne traîne pas, faut impérativement vider demain avant 15h. C'est pas insurmontable non plus.
Je rappelle une nouvelle fois la Panzer Divizion bisontine, ils auront mon aile vendredi matin, promis juré. Ça me va.
Je ne vois pas trop où les 4h30 de volant vont me mener. Ma Campagne, fastoche, Loriol aussi, je sors à Valence nord. Je vise La Mule Blanche, au pire ce sera Les Châssis. Je me gare à La Mule avec 4h32, ça passe. J'ai bien fait je vois que Dedieu est là aussi. Bonne soirée entre Effedéerriens.