| Carnet de bord de Décembre 2013 | Partager sur Facebook |
Tel un frigorificos del Sur, je prends le Fourvière, m’en fous j’ai le droit. Ça bouchonne un chouilla, normal il est 7h. A Brignais le portail de mon client est ouvert, nickel. Je me vide tout seul mes 3 palettes et quand j’ai fini le magasinier se pointe. Il me signe mon récep’, il est 7h45 et j’ai déjà fait un client. A 10h moins le quart je me gare chez les mousquetaires à Loriol. Le temps de boire un café à la baraque à frites du parking on m’appelle. A 11h je ressors avec mes palettes vides. Quand on est à l’heure ça va bien là-dedans, faut reconnaître.
Du temps de midi je suis chez PO Scandex à Reventin. Je ne suis pas revenu dans cette zone depuis que Begey avait une agence ici, ça date. Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaîtreuuu… J’avale un bout de pain en attendant l’ouverture mais un cariste vient perturber mon festin : « tu recules là, tu ouvres le toit, je te charge de suite. » En à peine un quart d’heure c’est fait. Je passe par Vienne- L’Isle d’Abeau où je croise Alain26 et son magnifique camion-remorque.
Pour 15h je suis sur un chantier au Pont de Beauvoisin. Comme mardi je charge du matériel avec mon chariot. Un vieux me voit, ouvre sa fenêtre et me dit : « vous venez quand me changer mes fenêtres ? » Je crois avoir mal compris, j’éteins le Moffett. Euh…comment dire ? Il y a erreur sur la personne. C’est surréaliste comme conversation, j’explique à pépère que je n’ai rien à voir dans l’histoire. Je n’ai toujours pas compris pourquoi il m’a parlé de fenêtres !
Entre les EUR vides, les longueurs de ferraille de Scandex et le matos ici, je suis chargé largement complet. Je me rentre. Demain je commence dans le Jura, je me pose à Villemotier. Ça suffit largement.