Carnet de bord de Novembre 2018 | Partager sur Facebook |
Pour 7 h et demi je suis à Devecey, je gare la bagnole. Micka me file deux extincteurs, le mec est venu pour la visite. Je range mes affaires et je vais chez Mécano-Services. Je montre à Lionel l'amortisseur de l'auto-vireur, rouillé pourri. Il me le démonte, vu l'état du truc rouler avec ou sans ça va pas changer grand chose. Il me le commande, je repasse vendredi. J'étais un peu inquiet pensant que la semi pourrait rouler en crabe ou je ne sais quoi mais non, je dirais même que ça ne change rien.
A 10h et demi je suis chez Armstrong à Pontarlier, on vide tout au bout de l'usine. Je dépends le chariot et je tire les palettes du fond au bord, je n'ouvre donc qu'un côté, ça file. Ma mission du matin est accomplie, je descends tranquillou de la montagne. De Pontarlier à Morteau la route longe le Doubs, la rivière est à sec. On est en Novembre, nan mais à l'eau quoi ! Tu m'étonnes qu'on n'a toujours pas le droit de laver les véhicules. Ça va durer longtemps ? La Franche Comté va concurrencer le Sahel ? Et les climato-sceptiques qui disent que tout ça c'est des conneries. Il y a des tartes dans la gueule qui se perdent.
Je traîne une heure chez ma meuf, je mange un bout.
Je passe chez Laily à 15h je dépose la couverture de piscine que je promène depuis mercredi.
Dans le bois avant Seppois je croise Sevket, ce qui veut dire que la place est libre. Il me dit qu'il a pris de l'avance, ça me va bien.
Fabrice a déjà sorti mon chargement, tout passe au sol. Je tamponne quelques CMR et je me rentre.
17h30 retour chez l'habitante à Audincourt, c'est rare un lundi comme ça j'en profite.