| Carnet de bord de Avril 2014 | Partager sur Facebook |
Je pars de la maison un peu dans le souci, je laisse mon grand tout seul, il n’a pas cours ce matin. A 9h j’ai texto, la personne est arrivée. Soulagement. Avec mon pauvre cerveau malade j’ai du mal à partir de la maison avec un truc qui cloche, ça me contrarie.
Arrivé chez Waterair, Marc est en train de finir, il paie le café. Mon chargement est tout à fait ordinaire, facile même, j’ai une piscine reportée semaine 18. Pas de bol c’est un escalier en-dessous de la pile qu’il faut retirer, mais je préfère ça que de me trimballer une piscine reportée toute une semaine dans le camion comme c’est déjà arrivé. Joël arrive pour charger derrière moi, il est bien élevé, il paie son café. Du coup j’ai bu deux fois le café sans bourse délier, on va finir par croire que je suis ardéchois…
A 13h je suis au dépôt, je fais les pleins et je vais au bureau pour rendre les paperasses et vider ma carte. Pauline me tend le zinzin, il faut en plus que je vide mon tachy, je suis à la limite. Eh merde ! Surprise, avec le nouveau bidule ça va bien plus vite en une dizaine de minutes c’est transféré alors qu’avec le vieux ça mettait 10 ans et avec parfois des échecs de lecture. Ensuite je passe chez Jeantet pour laver et pour voir le mec des pneus. Hasard, il n’est pas là. Je lave et entre-temps le Bibendum se pointe. Verdict : roule ! Franchement je m’en doutais… Je remets en route, merde j’ai lavé pendant une demi-heure du coup le tachy se refout à zéro, tant pis.
Il fait super beau, je me fais une descente par la 83 le bras à la portière. Le contournement de Lyon, alors qu’il est 18h, n’est qu’une formalité, à peine un ou deux coups de freins pour faire genre. Je me pose à l’arrache à Valence pour 45’ sur une voie d’accélération. 19h et quelques, c’est blindé. On avait combiné ce matin avec Joël de chez Buffa (ne me dites pas Perrenot, ça m’arrache la gueule) pour se retrouver à Donzère, il m’attend au bar devant un Kir. Je ne pouvais quand même pas le laisser seul au combat ?