| Carnet de bord de Juin 2013 | Partager sur Facebook |
Evidemment je n’allais pas redémarrer à 8h. Le temps que ça se décante, c’est kikikamerdé, c’est kikipaye, à 9h30 je vais charger…à Bilbao. J’y suis une heure plus tard. Aux expé’ le gars ne trouve pas ma commande, putain je suis maudit ? En fouillant dans un autre classeur, il trouve mon papelard, ouf ! Il y a un camion dans la travée, j’attends une dizaine de minutes. A mon tour je me mets en place, 14 minutes pour charger ! 5 colis 25 tonnes, je prends le temps de sangler soigneusement, je serai resté dans l’usine une bonne heure. C’est quand même con que je n’aie pas chargé hier soir, je serais déjà loin. Je trouve une douche pas très ragoutante, faut bien se laver, mais vite fait alors.
Je fais une première coupure à l’aire de Bidart. Je n’avais pas d’internet hier soir, je n’ai pas pu faire mon programme Waterair. Je le fais en mangeant un morceau et je l’envoie. Depuis que la 10 est passée en autoroute j’ai l’impression que ça roule mieux. On arrive même à rouler à 90 par moment, c’est dingue ! Sauf que j’arrive à Bordeaux à 17h. Il pleut, comme d’hab’ me direz-vous, la rocade dans mon sens est un gigantesque parking. 50 minutes pour faire le tour, fait chier ce bled. Ensuite ça va mieux. Jusqu’à Angoulême pas le moindre casse-couilles qui respecte le 80, il n’y a que des rouleurs ce soir. Bizarre. Pour ne pas me poser tel un Peco sur un mauvais parking dans la pampa je passe par Limoges. La déviation de Chabanais est ouverte plus un bout de quatre voies avant Limoges. Si ça continue à s’améliorer comme ça, ça ne vaudra plus le coup de couper par la petite route de Confolens Bellac. Faudra que je compte précisément le prochain coup. 21h20 je suis à Beaune les Mines, à cette heure les places sont chères mais j’arrive à m’en payer une.