FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2013 Partager sur Facebook
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  • La maison FAST me semble-t-il
  • Mardi 14 Mai 2013
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    A 6h30 pétantes je suis au magasin à Montbrison. Il y a un camion à quai. Je vais voir le réceptionnaire, il me dit que ce matin il a deux camions de deux centrales différentes, mais à la même heure ! Il pensait que j’allais râler, mais je lui réponds que ma foi moi je me suis présenté à l’heure après ce n’est plus mon problème. Finalement ça va assez vite, à 8h j’ai mes instructions pour le rechargement. Je prends la direction de Lyon, au bout d’un quart d’heure j’ai un message : la première ramasse est annulée. Ça commence. Donc je vais à Brignais. C’est une grosse boutique avec cinq sites dans la zone, pour ne pas me faire chier je vais voir à l’accueil. La fille me dit : « -Ah oui je suis au courant, bâtiment 5, je les appelle. » Je m’enfile dans une ruelle, cul de sac, merde ! Le cariste me dit : « Tu viens rechercher des bobines ? Ici c’est le seul atelier où on n’utilise pas de bobines ! Va porte 4, j’appelle quelqu’un. » Putain, ça me saoule. Je recule à contre-main et je vais porte 4. Là ,moins con ! Je n’entre pas, je vais voir d’abord. Eh ben c’est encore pas là ! Finalement les bobines défectueuses sont stockées aux expéditions des produits finis. Fallait le savoir. Message : il faut faire la deuxième ramasse avant midi. Ouais ben avec des casses couilles du genre, c’est vrai que je n’ai pas fait grand-chose ce matin. A midi moins le quart, je charge à St Priest une petite nacelle de chantier. Deux sangles, un coup de tampon sur le récépissé et je dégage. De là je finis mes ramasses chez Norbert à Meyzieu. Ils sont bien sympas là-dedans, ça charge du temps de midi, le top. Je reste à quai le temps d’attaquer un bout de pain et de finir ma coupure.

    En début d’après-midi l’exploit’ m’appelle : il faudrait tout vider ce soir pour recharger ensuite. Euh…ouais ! Bon ben vas-y, mets la godasse au fond mon petit Pierre.

    Un café à Villemotier pour me remotiver et à 16h45 je suis chez Jeantet logistique à Besançon. Le cariste me dit : « Les réceptions, c’est que le matin et on ferme à 16h30 ! Mets toi à quai je te vide en vitesse. » J’appelle pour vider la nacelle mais c’est mort, ils ferment à 17h et j’ai tout Besac’ à traverser. Donc je monte vider les bobines en retour. Là c’est classique, ça va vite, normal. Je rentre au dépôt, vide la nacelle à quai. Enfin j’essaie, j’ai passé un bon moment à trouver comment ça marche entre les interrupteurs et les sécurités, galère. Je recharge complet, fais les pleins et en route. Il est 19h passées et je dois vider demain avant midi à Montpellier. A la louche, ça me semble impossible…on verra. Je retrouve le Titi au resto du Miroir. Le jour est tombé quand j’arrive, les passionnés de Scania me pardonneront de ne pas avoir pris de photo.