| Carnet de bord de Janvier 2014 | Partager sur Facebook |
Je ne vais pas merder toutes les semaines, là j’ai une coupure de 11h légale, en route. Comme hier premier arrêt à Villemotier sauf que je ne sors pas de la maison donc je fais couler de l’eau chaude sur mon petit corps. A 9h je suis chez Peugeot Vesoul, pas trop de monde, je suis à l’heure, tout bien. Retour au dépôt pour compléter mon plein, je ne l’ai pas fait la semaine passée et j’ai erré tel David Vincent à la recherche des envahisseurs sur une route déserte, moi à la recherche d’une station…
A midi et demi je suis chez Jeantet à Besançon. En fait c’est une ancienne agence Buffa, donc je ne suis pas en terre inconnue. Il est trop tard pour charger, le moniteur et le mécano vont manger en ville, ils me proposent de m’emmener. Bah non, je voulais manger une connerie tout seul dans ma cabine… Nan, je déconne, on y va.
A 14h on charge, 66 palettes de chocolat pour les gosses d’une grande marque suisse. Je m’en vais avec Gros Quick dans la semi, j’allume les feux, tchouff, j’entends le fusible cramer dans la boîte… Je m’arrête, j’en remets un…il recrame aussi sec… Ah ? Je dirais que j’ai une merde dans les feux… Je me mets devant l’atelier et on cherche la panne. En fait j’ai juste une ampoule grillée dans un feu de gabarit ce qui fout un court-circuit, bizarre. Alors que ça marchait en montant mais bon c’est comme ça les pannes. Finalement je n’ai pas perdu trop de temps. De toutes façons je me voyais mal rouler sans feux, surtout à cette saison.
Je descends de la montagne par Levier Dôle, la traversée de Dijon est normale c’est-à-dire pénible à 17h30. J’espérais rouler jusqu’à Courtenay, mais j’ai rêvé… J’ai reçu le message de mes ramasses pour demain, coupure à la Barrière à Avallon, ça devrait aller.