| Carnet de bord de Mai 2014 | Partager sur Facebook |
Pour 8h je suis à l’entrée d’Alès. Je devais me garer sur le parking d’un bar-tabac, c’est blindé de bagnoles. Je connais une rue à 300m qui entre dans un lotissement, facile pour me retourner, pas le choix j’y vais. Je pose la rénov’, je prends mon chèque et je file, j’en ai un paquet à faire aujourd’hui. La suite est vers Anduze. A 600m du client la route se rétrécit, je m’arrête et j’appelle le client au secours. Il me demande où je suis ? Je lui explique en gros. Mauvaise pioche. C’est un bug des GPS, le chemin est barré par un ruisseau, il faut faire tout un détour. De l’autre côté c’est plus accessible, facile même.
13h je suis à Manduel à côté de Nîmes. La ruelle est en épingle, je fais tout une boucle pour arriver dans le bon sens. Pour repartir, évidemment la ruelle ne débouche pas en camion, je recule entre les arbres et les bagnoles. De là je vais à Baillargues à l’entrée de Montpellier dans un vieux lotissement pour une rénovation-margelles-escalier. C’est une vieille piscine les gens n’avaient qu’une échelle, ils profitent de la rénovation pour mettre un escalier et refaire les plages. Il fait chaud j’accepte un verre d’eau et un chèque. Bon, pour le chèque je suis un peu obligé d’accepter. Il est 16h passées j’ai encore deux rénovations mais dans le même bled, St Aunès. Comme il y a 15 jours chez le pépère que j’ai attendu le soir. Là c’est plus simple c’est dans un lotissement. Mêmes éléments qu’à Baillargues. La dernière est 200m de là. J’y vais, facile. Erreur ! La rue est en cul de sac, j’essaie de reculer mais un pin m’empêche de sortir à ma main et de l’autre côté il y a des voitures garées. Mais pourquoi je n’ai pas laissé le camion chez l’autre ? 200m c’est rien ! En baissant les suspensions je passe sous la grosse branche du pin sans niquer mon toit. Grosse frayeur pour rien, purée quel con je fais !
Retour au calme, je vais me jeter un Kir à St Jean de Védas.