| Carnet de bord de Avril 2017 | Partager sur Facebook |
Café, un peu d'eau chaude sur mon petit corps et je file. Ça roule chiément bien sur la rcea ce matin, pas de pénible qui roule à 80, idem entre Dôle et Vesoul, 9 kilos tout du long, le pied. A 10h et quart je suis à la capitale saônoise. Passage à la boulangerie en face de la Gefco comme lundi, si ça merde pour vider je suis paré. Ça fait des années que je ne suis pas venu, depuis Buffa en fait, le système a changé. On n'entre plus chez Peugeot comme dans un moulin, un gardien demande le CMR. Au magasin aussi ça a changé, avant on tirait un ticket comme au supermarché, maintenant on nous donne un bip. C'est blindé de camions, je me fais peu d'illusions mais non à 11h15 le zinzin chante. A midi c'est vide, je sonne Pauline, elle n'a pas besoin de moi, elle me renvoie dans mes foyers.
Le temps de rentrer et de décrocher, à 13h j'ai les pieds sous la table. Faut que je tonde, on ne voit bientôt plus la maison.