FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Décembre 2020 Partager sur Facebook
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  • Vendredi 18 Décembre 2020
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    Le parking est encore plein, oh les gars c'est vendredi va falloir songer à démarrer. Malgré le peuple pas grand monde au bistrot, j'ai même la grande douche.

    Pfouu ça grimpe jusqu'à Pontarlier, il faut une heure et quart pour faire les 60 bornes. C'est bien le 500 crache ses poumons.

    Chez Armstrong le cariste est occupé, il vide un camion de palettes neuves, à 9h il vient me chercher. C'est le mec habituel, il est bien sympa. D'habitude je tire les palettes au bord avec le chariot mais ce matin je suis motivé j'ouvre les deux côtés, ça me permet surtout de balayer comme il faut. A 10h et demi j'appelle Cyrille : « tu charges lundi à 13h. Bon ben bon week-end. »

    Je me voyais déjà faire des ramasses, une navette Compo ou je ne sais quoi. Parfait.

    A midi et demi je suis à Bourogne. La Fiesta n'a pas tourné depuis trois semaines et bien sûr elle n'a plus de batterie. Je m'en doutais. Je descends le Moffett, c'est du 12 volts, je cherche mes câbles, bien sûr ils sont au fond du coffre. La batterie du chariot est sous le châssis, avec mes grosses pinces poids-lourds c'est pas facile. Ça démarre quand même. J'en profite pour ranger mon coffre pendant que ça charge, à 13h je démarre. Bon week-end à tous le ciel vous tienne en joie.

     

     

    Arrivé à la maison j'ai 15 appels en absence, 12 messages...oh j'ai comme dans l'idée qu'il y a une merde ! Fabrice me rappelle une nouvelle fois : « t'es où je t'attends ? » Gnin ??? C'est pas lundi c'est aujourd'hui à 13h que je chargeais. C'est Pauline qui a fait les programmes, il n'y avait pas beaucoup ; une fois dans ma vie je ne fais pas le programme et je chie dans la colle. En retard pour en retard je mange en vitesse.

    A 15h je suis à l'usine, deux heures pile poil de retard. Ils se sont tous bien foutus de ma gueule. C'est Jean-Pierre qui me charge dehors, comme souvent en ce moment.

    A 17h je suis de retour chez Perrenot, cette fois je suis vraiment en week-end. Le ciel vous tienne en joie.