FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Septembre 2018 Partager sur Facebook
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  • Barça le matin
    la brume sous le Montserrat
    N II
  • Mercredi 19 Septembre 2018
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    Café, pas de douche puisqu'il n'y en a pas, à 8h et demi je suis chez Waterair Barça. Je vide, je tamponne le CMR, en fait ils pourraient me laisser les clefs, je viendrais quand je veux. Je m'arrête à La Panadella comme souvent pour me doucher. Ici la douche est gratuite, je bois un café avec un croissant, ça me semble normal de consommer un minimum.

    J'ai le temps je garde la N II jusqu'à Saragosse, ça secoue, c'est chiant mais c'est gratuit. La N II c'est ma N 4 à moi. Les 4h30 m'amènent de l'autre côté de la capitale aragonaise. ( astuce pour ne pas répéter Saragosse, comme le font les mauvais journalistes avec la cité phocéenne...) Je mange un bout, il fait une chaleur à crever.

    La réserve s'allume par là le long, je fais le plein à Torremocha, je m'envoie un café solo en vitesse pour regonfler la machine. A la station « normale », c'est à dire pas à l' AS24 le gas-oil est à 1€19. Macron et sa clique ils seraient pas en train de nous niquer des fois ?

    Je me fais une 30 à l'entrée de Madrid, c'est pas indispensable mais ça remet le compteur à zéro et je peux surveiller le trafic sur Google. Il y a un carton sur la M40 nord, je fais le tour par le sud, la M45. C'est un peu plus long mais ça roule tranquille.

    Il fait 32°, ça carbure ici. Après la température baisse en montant dans les collines. J'approche de ma destination et des 9h de volant. Il est 20h je trouve un resto, j'ai 9h de volant ric rac. Sauf que c'est fermé ! Merde. C'est sûr, par ici c'est pas une route à camion. Tant pis pas grave je m'en doutais, j'avais prévu. Le resto sert de parking de covoiturage, je vois deux mecs qui tapent la discut', je vais les voir. Ils me disent qu'il y a un resto à 500m de l'autre côté de la montagne. Boh allez ! En route. Je me gare avec 9h01 c'est correct. Le patron m'explique qu'il ne fait plus à manger le soir mais que je peux grignoter au comptoir, il me fait un hamburger. C'est pas le grand luxe mais ça m'a fait passer un moment. Devant un verre de Valdepeñas, moi je suis heureux.