Carnet de bord de Février 2019 | Partager sur Facebook |
Ici il y a des douches dans un cabanon à l'extérieur mais ce matin j'ai droit à une douche de l'hôtel. La serveuse est tombée sous mon charme, je ne vois que ça !
Je commence à Vauvert, en pleine ville. J'ai beau tourner maps dans tous les sens, c'est impossible. Le commercial m'annonce un stationnement à 500m, ça doit être ça. A force de tourner autour du pot j'arrive à me garer à 200m de la maison. Pas mal. La cour est toute petite, une maison de ville c'était sûr. Le crépi du mur avec le voisin est tout neuf, j'évite de faire des dessins avec le chariot. Je pose l'escalier sur la terrasse, je le bouge à la main. Pour le lourd ça va pas du tout. Je rassure la cliente en lui disant que j'allais le faire à la main, elle me dit que je suis adorable. Moi une femme me dit ça, je lui décroche la lune.
Ensuite je vais à Codognan, depuis chez le client on voit l'entrée de l'usine d'embouteillage Perrier pour vous situer. Le client en voyant l'immat' 25 sur le Moffett me dit qu'il est de l'Isle sur le Doubs, retraité de chez Peugeot, comme tout le monde dans le nord Franche Comté quoi ! J'y passe du temps, il a plein de bordel. Bonne nouvelle je me débarasse de la bâche solaire qui me fait chier depuis vendredi.
Je me prends un bout de pain à la boul' à l'entrée de Lunel. C'est un Pétrin Ribeïrou mais on dirait qu'il n'est pas franchisé comme les autres, il y a d'autres trucs pains et pâtisseries qui ne ressemblent pas à Ribeïrou. Bizarre non ?
Enrique le chef de Waterair Espagne m'appelle, on discute de la livraison à Mataro demain. Il est bienveillant avec moi, il parle lentement en détachant bien les mots. Ceci dit il ne va pas me critiquer, il ne parle pas un mot de français. On se donne rendez-vous, on fera la vuelta en bagnole, Mataro c'est muy complicado.
Pour 14h je suis à Vic la Gardiole, c'est entre Montpellier et Sète au bord de la mer. Encore un lotissement bien étroit, bien chiant. Le client lui ne l'est pas, chiant. Cool même.
Il ne reste plus qu'à me rapprocher pour demain. Petite pause à Narbonne Vinassan, en redémarrant je tombe sur David 83, fidèle lecteur des carnets, tant pis pour le café, ça aurait été avec plaisir. Je descends par la nationale Narbonne-Perpi tranquille. J'ai bien fait, je vois un beau bouchon dû à un accident en passant au-dessus de l'autoroute. Je me fais trois courses à l'Escudero à La Jonc', celui où le parking est en face. Fin de cession au California à Gérone, y a rien qui va mal...