| Carnet de bord de Janvier 2014 | Partager sur Facebook |
Reprise des bonnes habitudes, je décolle de la maison à 9h et demi. Je sais ça fait tôt, mais quand on est motivé on ne recule devant aucun sacrifice. Il tombe un petit crachin, à Héricourt mon petit camion tout propre est dégueulasse. 50 minutes plus tard je suis chez Waterair. Michel a fini, son camion est fermé mais je sais où il est, à la machine à café avec Fabrice. Grand prince je paie ma tournée. Je passe au bureau faire coucou et récupérer la liste de chargement dans mon casier. J’y trouve diverses notes de service mais bien plus important, une recette de macarons aux amandes…
Au chargement j’ai des spectateurs, deux gamins de troisième qui font le stage : découverte des derniers français au boulot… C’est un peu la visite au zoo de Mulhouse, derrière les grilles on préserve une espèce rare : des salariés français dans une usine française. Vu qu’il est interdit de jeter de la nourriture aux animaux, je repasse par la maison. J’y suis à 13h, mon gamin n’a pas cours aujourd’hui, on mange ensemble, ça tombe bien.
Quand j’ai fini de faire le papa poule je remets en route. Je commence demain dans le 77, no stress, je monte tranquillement par la 19. Je ne passe plus trop par là, ça me change, c’est sympa. En 4h28 je suis à Sourdun, nickel. Il y a 4 lundis donc 28 jours, pour les besoins du boulot Pauline m’avait fait dépasser l’amplitude : 8h30 de coupure sur 24h. Je ne suis plus verbalisable. Cet après-midi j’y étais, demain je n’y suis plus. Cette loi est quand même d’une connerie sans nom.