| Carnet de bord de Mars 2013 | Partager sur Facebook |
A 8h je suis chez les écrabouilleurs de ferraille. Bizarrement il n’y a aucun bruit dans l’atelier, wonwon… En fait ils sont en RTT, mais il reste un cariste…sauvé ! A peine une demi-heure et je rentre au dépôt. Je décroche, récupère ma caravane et charge un petit lot de trois palettes aux portes. Je descends à l’usine, il est presque midi, il n’y a personne. J’ai le temps de manger un morceau et d’aller aux Mines. Sauf que j’ai oublié les carnets d’entretien au bureau. Putain je suis un boulet. Donc je retourne au bureau, vais décrocher près des Mines dans la zone des transports et je file dans la zone des Tilleroyes pour le contrôle du limiteur. Le temps de faire tout ça il est presque 14h, mon casse croûte je le bouffe sur les couilles à Jules. Le contrôle du limiteur c’est typiquement le truc scandaleux : on paye pour une intervention qui dure 5 minutes, le mec s’enferme pour ne pas qu’on voit ce qu’il fait…c'est-à-dire pas grand-chose.
Ensuite je vais au contrôle technique. Le type est hyper tatillon, sauf qu’il trouve une fixation de l’essieu numéro 3 desserrée. Comme quoi ça sert à quelque chose les Mines. Je passe chez Jeantet pour faire rectifier ça. Je me dépêche de rentrer, faut que j’aille voir les infos. Sarko mis en examen, on va voir le bal des Tartuffe d’un côté et les suces-boules de l’autre. Je suis dévasté par le chagrin, mais je veux voir ça. A 17h30 je décroche au bled, fin de mission.