Carnet de bord de Janvier 2019 | Partager sur Facebook |
Café, croissant, douche à l'hôtel à l'étage, c'est bien c'est propre. A 8h30 j'ai un numéro qui commance par 200, 233 même. Sauf que la donne a changé, hier soir il n'y avait personne, ce matin c'est blindé de camions à l'imprimerie, le mec m'annonce 2 à 3 heures d'attente. J'adore le fret industriel... J'ai le temps de serrer au max mon bazar, ça va passer crème.
A 11h et quart, je me casse. J'ai pris un bout de pain à la boul' en face du troquet ce matin, j'enquille l'esprit tranquille. Martine m'appelle, elle a reçu un mail de la cliente d'hier soir, son voisin dit que j'ai bousillé le grillage. Ben non puisque je n'ai pas réussi à passer. Je crois surtout qu'il pense refaire son vieux grillage gratos. Ça me fatigue ces histoires, on perd du chiffre en ne livrant pas et on se pète un litige, la loose.
Laurence m'appelle dans l'après-midi, on fait le point ; la réception est fermée à Longvic et Besançon demain matin 7h30. Faut que je ramène le Longvic à quai. C'est ballot, je ne suis pas loin, je tente ma chance. C'est écrit en gros sur la porte : réception 7h-12h. La grille est ouverte je vais faire le Caliméro. Le jeune accepte mais il me dit que demain il va se faire défoncer par son chef. Meuh non meuh non, je le rassure comme je peux. J'ai vraiment de la moule, il allait partir, j'ai bien fait de ne couper que 15 à midi. Je finis les 30 à la sortie de Dijon, le jeune n'aurait pas compris que je glande devant leur dépôt.
18h30 à Devecey je saute dans le petit carrosse italien, je file chez ma douce.