| Carnet de bord de Février 2014 | Partager sur Facebook |
Petit déj’, personne n’attend pour la douche je suis seul au monde. Du coup je me suis levé un bon quart d’heure trop tôt. Au fur et à mesure que j’avance le temps change, quelques gouttes au début puis de franches averses. Adieu mon camion tout propre. A 10h30 je suis dans un bled paumé dans le grand nord…de la Dordogne, non loin de la Charente et de la Haute-Vienne. Je dois reculer dans un chemin étroit selon le commercial. Et je vide comment ? Le client m’explique qu’à 2 ou 300m il y a un parking qui sert de stockage à l’équipement. Banco. En plus la pluie s’est calmée, j’ai de la place, parfait.
Je m’enquille quelques bonnes routes de chèvres pour me retrouver vers Brantôme en début d’après -midi. Je dois poser une rénovation mais c’est un peu compliqué, la maison est en location. Je tombe sur le proprio puis sur le locataire. L’accès à la maison semble délicat, le chauffeur qui a livré la piscine neuve à l’époque c’était bien fait caguer parait-il. Du coup le proprio me donne rendez-vous sur le parking d’un resto. Je dois l’attendre près d’une heure, mais franchement je préfère attendre que de m’emmerder sur une route impossible. Il vient avec une fourgonnette, je lui balance les colis, je prends mon chèque et on en est quitte.
Périgueux, Bergerac, je me pose sur mon parking habituel, allo Lionel. Il me reste un Gewurtz’ de chez Lichtlé à Ammerschwihr rescapé des fêtes de fin d’année, tout à fait honorable. Inutile de préciser avec modération, à trois sur une bouteille on n’allait pas s’étouffer…