| Carnet de bord de Juillet 2018 | Partager sur Facebook |
Je ne livre rien aujourd'hui, heureusement parce que mon Monsieur Patate ne tient pas la grande forme ce matin, je ne pars qu'à 9h30. Passage au dépôt pour les pleins et les papiers, la jauge du Moffett clignote rouge, le dernier coup il a désamorcé. Après le plein j'y mets un coup de clef, ça démarre, sauvé. Mon boss m'appelle, je monte à la tour de contrôle. J'en profite pour lui expliquer pourquoi j'ai décollé si tard. Lui il s'en fout tant que le boulot est fait on s'organise comme on veut, mais j'aime bien que les choses soient claires.
Arrêt suivant vite fait sul'gaz pour ma baguette tradition en haut d'Arbois comme presque tous les lundis. Il font des demi-baguettes tradi ici mais il est tellement tard qu'il n'y en a plus. Ma vie est un enfer.
Je trouve une place à l'ombre avant Bourg pour casser la graine, en moins de 30 pour ne pas que le compteur se remette à zéro. Ça aussi, faut pas me dire que c'est pas ridicule... Donc les 4h30 m'amènent à Lyon sur le vieux périph ', normal.
Comme la semaine dernière c'est après que ça se gâte. Les panneaux lumineux annoncent Valence à 1h. Putain, une heure d'autoroute pour faire quoi ? 40 bornes ? Je sors à Chanas, ça roule . On voit depuis la nationale que c'est à l'arrêt ou presque au pied du Bœuf. Faut pas rêver je suis aussi à l'arrêt à Tain mais au moins c'est gratuit. A Valence je rattrape un JP et un je sais plus quoi qui étaient devant moi. Opération nulle. Après ça freinouille par ci par là , mais rien d'extraordinaire.
Je me pointe au relais du Soleil à St Jean de Védas à 20h, je pensais devoir aller me garer dans la zone mais il reste une petite place pour mon petit camion. Au poil.