| Carnet de bord de Mai 2013 | Partager sur Facebook |
Réveil 5h, ouhh ça pique, bien fait j’avais qu’à aller me coucher au lieu de refaire le monde hier soir. Une douche et ça va mieux. 9h01 de coupure, en route. Dans la matinée j’appelle le gars pour la menuiserie. Il voudrait que je vienne directement sur le chantier. Je les connais ces mecs. Tu livres direct sur le chantier, ça leur économise le transport entre leur dépôt et le chantier. Et toi t’as les km dans le cul ! Dans le transport on est des boîtes de services, mais on n’est obligé de se faire sodom’… En fait ça se vide dans la zone industrielle de Longvic, pour moi c’est bon ça m’évite d’entrer dans Dijon…je dis au mec que je suis ok.
Ça va être fin pour y être en 4h30, j’hésite… Finalement je coupe 45’ sur l’autoroute, je suis mieux là que de couper sur un trottoir devant le client. En 5 minutes c’est vidé. Le gars pour la bouffe des animaux m’a dit de venir quand je veux. Je casse donc une graine entre Dijon et Gray et à 13h15 je suis en place. Le type me file un tire-pal, je roule les palettes au cul, ça va.
J’appelle Pauline : retour dépôt. Je décroche, récupère une porte-bobines. Mauvaise nouvelle, je dois « vider » mon tachy, ça fait trois mois…merde. J’en profite pour faire mes papiers en retard. Quand le zinzin a fini de clignoter je peux aller charger aux bobines. Je suis le seul camion dans l’usine, la classe ! 26 minutes, 26 tonnes. Au quatrième top de 18h je décroche au bled. Bon week’ à tous.