| Carnet de bord de Octobre 2014 | Partager sur Facebook |
Réveil 5h, petit déj' douche. Ici le patron gare les camions le soir et il fait l'ouverture le matin à 4h, le lusitanien est courageux... Juste avant 9h je suis à Valentin, pile poil. Seule emmerde l'abri de jardin est sur une palette de merde, le tire pal ne passe pas dedans. Je fais un petit calage avec des lattes Waterair qui traînent et hop ! Putain trop balèze, non seulement j'ai un physique mais aussi un cerveau hors normes...comme ma modestie. Je descends au deuxième Carrouf' à Chalezeule, faut se payer le boulevard de Besançon et ses milles feux, tous au rouge bien sûr, mais à 10h ça passe potablement. Tiens je ne savais pas où j'avais fêlé le cabochon du feu arrière de ma semi. C'est à Carrefour Chalezeule...et je lui ai remis un coup ! Ils ont un putain de bloc en caoutchouc qui descend assez bas, sur ces remorques quand le pare-choc est déplié les feux sont au ras des portes, bimm... J'aurais aimé voir ce caoutchouc un peu plus tôt. Bref j'ai niqué un cabochon.
Message de Pauline, je vais faire une grosse ramasse à Besançon. J'y suis à 11h30, il n'y a pas que le patron de bistro portugais qui est courageux, le Comtois aussi. A midi pile j'ai 30 palettes dans la caravane. Je remonte laver chez Jeantet, Gérald m'appelle : « on va manger à Devecey, tu viens ? » Si vous me prenez par les sentiments ! Le Karcher peut attendre un peu. Comme si on l'avait fait exprès quand je monte sur la rocade il me passe devant, suivi de Micka qui roule dans MON Cubo de fonction. Sans gêne le gars ! On se retrouve à quatre chauffeurs, sympa.
Ensuite je vais laver et je rentre au dépôt. On se met à quai côte à côte avec Carlos, je lui refile mes palettes. Bien sûr il a un autre lot à prendre en plus, je lui file un coup de main pour gerber quelques palettes, bon quelques, une dizaine quoi, on fait un joli truc.
Je fais les pleins, j'embarque mon chariot et je me rentre. 17h je décroche au bled. Le ciel vous tienne en joie.