Carnet de bord de Janvier 2014 | Partager sur Facebook |
Ce matin pour changer je démarre sous la pluie. Quel mois de janvier pourri ! Je passe au dépôt à Saint-Romain pour faire mon plein de gasoil ,remettre du lave-glace et rajouter du DOT 4 dans le réservoir d'assistance d'embrayage. Je trouvais que la course de la pédale était anormalement courte ces derniers temps. Effectivement le niveau était en dessous du mini, doit y avoir une fuite quelque part...
Direction Corbas pour changer. Là j'accroche un joli chassis bleu et file chez Novatrans récupérer une citerne. Au terminal je tombe sur papy qui me paye obligeamment le café. Il s'en va à Andrézieux vider sa citerne et moi je m'arrête à Givors, andrezieux c'est trop loin !
Pour une fois ça se passe bien ici, j'entre à 7h30 et chose incroyable je depote dans une seule cuve. Par contre à la sortie ça coince, il y a qu'un seul guichet. J'attends patiemment mon tour en écoutant d'une oreille distraite les deblaterations d'un chauffeur qui a tout vu tout entendu et évidemment qui est né avant son grand-père. L'affaire dure quand même pas loin de 30 minutes ,le temps que j'ai mis pour vider ,bon rien de catastrophique non plus. Il est neuf heures lorsque je repars.
Je pose à Vénissieux et passe au terminal voisins afin de récupérer ma nouvelle citerne .Florian est garée en débord. Je subodore que ça ne veut rien dire de bon. En effet le train n'est pas rentré, il est annoncée pour 11h. Je me disais bien aussi que c'était trop beau. Pour nous occuper Nico nous fait faire un transfert du terminal à Lavarhône. A notre retour on nous annonce finalement le train vers 11h30 mais ce n'est que midi qu'on peux partir direction Grenoble, Pile l'heure de mon rendez-vous à Jarrie. Je laisse filer Florian et coupe 20 minutes le temps de casser une croûte vite fait à l'Isle d'Abeau.
J'arrive à Grenoble sous une pluie battante et me présente à l'usine quasiment lorsque Florian fini de charger, belle synchronisation ! Je repars d'ici une heure plus tard et passe le plus clair de mon temps au téléphone avec mon pote José qui s'emmerde sur le port d'Ajaccio en attendant son bateau du soir. Il a les boules mon Tos car il a plu toute la journée en corse. C'est ballot pour lui quand même !
Je ramène tranquillement ma citerne au terminal et fait remettre à la place un Aigues-Vives que je décroche chez Hoyer.
À la place je raccroche une citerne vide et c'est tout bon je peux rentrer à la maison avec.
18h, fin d'une journée bof bof.