Carnet de bord de Mai 2013 | Partager sur Facebook |
Encore un réveil à l’aube, enfin il fait encore nuit, et il est 3h45, mais si je veux être à l’ouverture de l’usine à Nichelino, faut être parti à 4h45, surtout si tu as rdv avec un collègue pour le café en route.
Aire de St Michel, ce n’est pas avec un, mais avec deux collègues que je bois le café, et 15mn plus tard je repars.
J’arrive chez mon client, ça sert à rien d’arriver à l’ouverture, si lui a du mal à venir à moi pour m’ouvrir la porte, je vais rester là dans la rue à l’attendre au moins 20mn, malgré les « Si, si arriva rapido presto ». Une fois délesté de ces caisses métallique qui ont toujours le bon goût de se faire la malle dans les virages, je vais à chez son voisi nqu iest à 300 poser une palette, une seule dont j’ia eu la bonne idée de mettre au bord, du coup je reste dans la rue, et en 5mn je suis repartis.
Je vais chez un client que j’aime faire, ce lieu c’est Calamandrana dans cette belle campagne du vin d’Asti. Et c’est là que je vais voir la boulette du gamin, ce matin j’ai remis ma carte mémoire dans mon APN, et l’écran me dit lorsque j’ai voulu faire une photo « Carte bloquée en écriture »
Axeeeeeeeeeeeelllllllllllllllllll
Je ne sais pas pourquoi, ni comment il a fait, surtout que ce chameau ne répond pas au SMS, mais je connais le gamin, il croit toujours qu’il sait, alors il clique, c’est sûr que dès fois ça marche, mais dès fois, ça marche pas.
En tous les cas je livre mes capsules d’alu pour emboucher les bouteilles dans ce lieu de vignes et je repars de chez eux pour aller vers Milan à Interuno, j’apréhende de livrer ce client qui au dire de certains c’est d’un chiant, le chauffeur Espagnol devant le guichet me dit qu’il est là depuis 1h pour 1 palette à poser, mais pour moi ça se passe bien, je vais au quai dans la foulée, juste le temps de mettre le yellow blazer, les security shoes pour enlever les sangles sans ouvrir la taut, et l’affaire est dans le sac, j’ai lu pendant qu’il signait les papiers le règlement intérieur pour les chauffeurs, il y a 15 traductions, de l’Italien (normal) à l’Anglais en passant par le Grec, l’Espagnol, le Suédois, les PL, RO, BG, et mêm le Russe, et pas dans la langue de Molière, ni de Guillaume Tell et de Malibu, et encore moins dans celle de Céline Dion… Serions-nous une espèce en voie de disparition ?
Je susi vide, je quitte ce lieu de perdition, et je vais voir si le règlement chez ce transporteur à Solbiate Arno est mieux.
Bon ici pas de règlement, mais des Ducatti, et des Augusto à foisons, on est proche de l’usine des Augusto, et au vu des questions et de se faire confirmer mon n° d’immat, il n’y a qu’un pas à franchir de croire que je charge des motos pour la France, un pas que je franchis allégrement, mais je suis vite démenti, pour ma tronche ce sera des appareils de clim industriels, ainsi va la vie, rien ne tombera du camion…mdrrrrrrrr.
Et je fini avec 9h50 de conduite et 14h30 d’amplitude au Paradise avec Nono un de mes collègues.