FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Décembre 2016 Partager sur Facebook
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  • les groupages express nord pas de calis
    Au Nord, c'était le béton...
    schnellement Ch'tis
    N44
    une douche après tout ça
  • Vendredi 2 Décembre 2016
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    Démarrage après la douche et un café pain grillé beurre à 7h. Et oui, des fois je vais au restaurant, c’est quand même la base du métier !...

    Maubeuge passe au taquet, dans mon sens. Vers Valenciennes pareil, une heure pile pour arriver chez Gefco dans la zone de Toyota. 

    Quai de suite et le mètre de boites plastiques à destination de l’Irelande m’est vidé tout de suite. 

    Le retour, c’est à Gondecourt, vers Seclin. Là ça bouchonne encore sur Valenciennes, mais peu de temps, direction Lille ça se tasse vite. Je stoppe à la Access de Petite Forêt pour donner à boire au réservoir bleu. Un camion se gare derrière moi, juste pour aller chercher un café visiblement. Il remonte dans son camion, et il klaxonne alors que je n’ai pas fini de remplir. J’adore. Enfin, peut être il ne m’a pas vu. C’est pas grave, l’ayant vu, je comptais bien aller me garer pour payer pour le laisser passer, mais avec le coup de klaxon, ben non, du coup, je vais aller payer tranquillement et il attendra... 

    Sur l ‘A23 c’est bien fléché Seclin, comme ça ça évite de se taper le sud de Lille.

    J’y arrive un peu avant 10h et rentre de suite me mettre en place grâce à un cariste qui m’emmène au bon endroit. Il a l’air bien speed. Mais il me dit qu’il part en pause 10’ et qu’il me charge. Ok....

    J’ouvre le côté et à peine fini de balayer qu’il revient déjà à fond les gamelles. Les temps de pause sont respectés au moins ici. Et pompon, un 2ème arrive. Ils se battent presque pour me charger. C’est pas beau ça ? Bon, les emballages ne sont pas trop beaux, eux, des vieux machins pliés, ça fera bien 20t. Le cariste me montre tout ce qu’il y a à rapatrier à Mulhouse. A mon avis je risque de revenir. Je repars de là il n’est pas 11h.

    Je me paye l’autoroute jusque St Quentin et casse une graine en dessous Laon.

    La suite c’est la méga routine la N44, N4, ma nouvelle A31 quoi ! L’avantage en venant du Nord, on évite la traversée de Vitry. Sinon, le contournement de St Dizier se passe à même pas 70 comme à chaque fois.

    Je fais un saut chez Volvo à Ludres pour quelques pièces Schmitz qui étaient commandées, des roulettes de toit ou diverses entre autre. C’est moche de vieillir. 

    Tant que je suis à Ludres, je passe au lavage juste à côté. Il est 17h passé, il n’y a personne. Je lave très rarement en station. Ici c’est très bien fait, mais je n’irais jamais toutes les semaines en station comme ça, ils frottent la cabine à la brosse, et ça raye à force. Quand c’est moi même qui lave, je prends l’éponge et l’escabeau, ça met 3 fois plus de temps, certes. 

    Je n’ai pas réussi à caser la 2éme 45’ dans tout ça alors je refais une dernière 30’ à Thaon les Vosges avant Epinal.

    De là, reste un dernier pointillé de 40’  pour arriver sur la place de mon village où je dételle.

    Il est 19h40 et il est temps de dire : «  Au revoir » !