Carnet de bord de Février 2017 | Partager sur Facebook |
J’avais trouvé à me garer, mais c’est assez loin du resto. Il ne fait pas trop moche, je me lance à pinces avec mon sac de douche Scania pour le petit kilomètre qui me sépare du Nationale 4. 10 bonnes minutes de marche, c’est surmontable. Surtout qu’ après la douche il y a le pain beurre. J’aime bien ce relais. Et là, devant le bar, il y a le cuisto qui fait revenir des travers de porc à la poêle. C’est mortel. J’ose pas demander, mais c’est peut être justement pour compléter le petit dej de ceux qui se tapent presque un kilomètre de marche pour arriver ici..
Je mets en route un peu avant 9h, en pleine chronique de François Morel, qui est excellente comme d’habitude, ce matin il revisite nos présidents de la 5éme république jusqu’au futur prétendant déjà déchut avant de commencer, c’est poilant. Les politiciens peuvent remercier ces humoristes qui se foutent de leur gueule et il y a matière, ainsi ils apaisent la colère du peuple.
Il fait beau sur la N4, c’est du bonheur, obligé de mettre les lunettes de soleil.
Arrêt à Nancy Ludres vers midi 15 chez Volvo pour récupérer des pièces de semi, dont les flexibles de réhausse. Ça va être amusant à changer.. Il y a un Performance Edition sur le parc, je le prends en photo, ce bleu drapeau du suédois est vraiment trop beau. Un gars du service commercial me signale qu’il n’est pas encore vendu.. Le constructeur les vend aux concessions, qui les revendent après. Ce n’est pas un véhicule qui se commande comme un autre, c’est une série limitée quoi.
A Ludres, juste à côté, il y a le lavage, je vais voir, c’est blindé. Dommage j’aurais bien lavé, il y en a besoin, et ce temps sec motive, mais je ne veux pas passer 1h30 ici.
Arrêt suivant à la Access de St Nabord pour un peu de gazole et casser un peu la graine. Tout ça en 30’. Il fait un temps magnifique, mais plus de trace de neige au bord de la 66 dans le Bussang.
J’arrive à Mulhouse un peu avant 16h. Passage au guichet me donne le billet aller retour suivant. Caen ça va s’arrêter... ?
Ça vide très vite en mécanique, 300m à vide pour passer en forge. Un espagnol charge le Mendaro du vendredi. C’est pas loin en Espagne, au pays Basque, mais souvenir souvenir quand même.
Puis c’est mon tour, et je suis lesté de 25t de pièces de forge en une bonne demi heure
Retour via le Bussang, ça roule nickel. Il reflotte comme il faut, j’ai bien fait de ne pas laver finalement.
Je me pose dans le bled à 20h.
Cool le week end commence vendredi soir. Mais il se terminera dimanche soir. On ne peut pas tout avoir !