Carnet de bord de Juillet 2018 | Partager sur Facebook |
On dort bien chez Michel Édouard. On va y mettre un peu de gazole alors. Ce sera vraiment un peu, car les pompes buguent, au bout de 2 j’abandonne, une m'a délivré 17l, et l’autre 107l. Et sans ticket, il a encore fallu pleurer à l’hygiaphone pour se faire envoyer une facture. Bref, je décolle, il est déjà 8h25. Pas un grand bout à faire heureusement, en 30’ je suis le long des tps Collombet, face au client où je vide. Pas de place dans la boutique, vu que le quai est pris, alors attente dans la rue. C'est pas trop gênant, dans le 43 ça ne circule pas des masses. Je suis vide à 9h30, de matière 1ere de plastique d'Allemagne, je plagie Juju42, mais avec la distance raccourcie en plus. Go au papier à Chaspuzac, via encore le grand tour nord du Puy, le contournement n'est pas encore ouvert, je croyais que c'était le 1er juillet. Y a du y avoir de l’argent détourné dans le cadre d’un scrutin local à l'époque. À la plateforme, y a le Ollier complet vu la veille, au moins il a dû faire 11h lui. Enfin il repart juste. Pas long ici, quelques palettes, juste la place qui devient rikiki. La suite, le 84. Mais non, ça aurait été trop simple. Une petite foulée m'attend. 43 pour le 07. C'est St Julien Chapteuil, sur la route de Valence quoi. J’y arrive à 11h55, j'ai eu chaud. Ça ne leur fait pas plaisir, ils ne m'attendait pas, mais chargent quand même, se relaieront plus tard pour la pause. C'est surtout que je dois livrer cet aprem à Charmes sur Rhône, ça m'arrange. C'est pas du lourd, heureusement, normal, ce n’est que plastique ici. Je repars à 12h30, toujours direction Valence. Jusque St Agreve, ça va comme m’a dit Juju. Mais après, la moyenne stagne à 40 ou 50. Il n’y a pas une ligne droite de plus de 100m. Heureusement c'est joli. Surtout quand commence à se profiler la vallée du Rhône. C'est après avoir fait le maximum du pourri, que je m’arrête un poil avant de descendre à la bonne ville de St Péray, pour enfin casser une graine. Il est déjà 14h30. J’ai encore bien mis 30 minutes pour rejoindre la ZA de Charmes sur Rhône. Y a des périodes où la nouvelle limite du 80 nous passe complément au dessus. Au moins j’ai pu photographier le château crucial de St Péray, et ça c'est Crussol n’empêche.
À la bourre d'épices, on me vide les palettes de couvercles plastique pour poivrière et salières, sans grande motivation, ils les auraient préférées demain matin.
Pour Monteux 17h, c’est mort. Je retrouve la N7 et la garde, en roulottant à Montélimar sous des trombes d’eau. Ça fera du bien quand même, et pas qu’au pare brise.
Arrêt à Donzère pour une bonne douche, car je n’ai pas trouvé l’eau courante dans le 43 ce jour. Ça fait pas de mal. Je fais 30, mais le beau frère ne veut pas arriver. Et je préfère aller au client ce soir, demain j’ai un voyage, un peu différent d’un 43 07 cette fois.
Il refait beau un peu plus bas, et voilà que je croise le beauf vers Mondragon.
Le thermomètre remonte haut, 32,33.
J’arrive à Monteux sur le Bld de l'Europe à 19h passé, y a un peu de place correct dans la rue. Le fournisseur bosse encore, je vais voir si ce sera la bonne porte demain, oui. Mais ils ne peuvent pas me vider ce soir, pour ça il faudrait prévenir les bureau avant 17h, même pour du emballage PSA. Bien à savoir. Le genre de tuyau que j’aurai zappé à la reprise après les congés.