FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Décembre 2018 Partager sur Facebook
  • Photos
  • toujours la banane
    c'est sûr, il a de quoi
    Banyoles, vide
    la Bisbal d'Emporda centro
    Costa Brava
  • Mardi 4 Décembre 2018
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    Bien dormi, sans stress, et l'accès sur l'A7 est libre, il est 5h40. Ne plus quitter l'autoroute maintenant. C'est bien, plus on descend, plus on voit qu'il va faire beau, le lever de soleil est plutôt cool, vers Sète heure, mais un peu passé. Je m'arrête à l'aire de Méze, y a le prof qui fini sa coupure, il a la banane. Mais avant, juste au début de l'aire, un XPO français en plateau me demande si j'ai des pinces pour aider à démarrer, pas de souci, et ça démarre. Le chauffeur me remercie bien. Il faut toujours aider son prochain, qu'il soit rouge, roule en merco, drômois, et même s'il fini ricain. Je redémarre en même temps que tonton 26 qui a ses 9h01 vers 9h justement. Calé sur le canal 7, retour dans nos années 90, c'est super de communiquer comme ça. Faudrait juste pouvoir caler aussi les régules.. Belle matinée sur cette A9, entre le 11 et le 66 où le paysage change bien du M40 ou M1, il faut reconnaître. On s'arrête une bonne trentaine de minutes au village Catalan pour aller à la douche, enfin aux douches! Le péage du Boulou n'est plus trop rouge vif d'après la technique. Ça se vérifie sur le terrain, on paume à peine 10 minutes. Je sors un peu plus loin, à Figueres sud, pour aller vers mon 1er client, à Banyoles. Phil continue bien plus bas, sur Peniscola, le veinard. Mais je suis bien content de me promener sur la route de Olot, ça change un peu de l'AP7. J'aime bien les réseaux secondaires en Espagne. Le client, fabricant de pièces autos, vident ses quelques IBC  avant 13h, ouf. Le suivant est plein est, vers la côte, Palamos. C'est la C66 tout du long. Avec la traversée de la Bisbal d’ Emporda à la place de son contournement,ça rend la ballade sympathique, ce bled est très joli. C'était sur les conseils du coach. A Palamos, le nom du client me causait, certain de l'avoir déjà fait pour PSA Mulhouse, mais une fois là bas l'accès ne me rappelle rien du tout, auraient ils déménagé? Bref, pas grave, on va pas toujours regarder en arrière, il faut profiter du moment présent, surtout qu'ils me vident de suite. Je vais au 3eme en m'offrant tout de même une collation en route, au service de Montseny. J'arrive au 3eme, Parets del Vallès, sans faute à la bonne adresse fournie par Phil, un chemin de terre qui mène chez un transporteur, pour le compte d'une usine juste à côté, qui ne vide pas l'aprem. Manque de bol, le transporteur m'apprend qu'il ne fait plus la logistique, que je dois aller directement à l'usine pas loin. On me dit demain matin 7h30. Zut. Stéphane me suggère de poser la question à Aurélien, si des fois ce serait un autre transporteur qui aurait repris la logistique. Mais niet, Aurélien n'est pas venu depuis un bail non plus, et en était resté aussi sur le transporteur dejà vu. Bon c'est pas dramatique, je suis déjà bientôt à bout d'heure, je vais tenter le suivant, pour le film plastique à Santa Perpetua, à pas 15 bornes d'ici. Il me vide sans souci, et par le côté. Parfait. Au pire je coupais ici, le cadre du poligono est bien sympathique avec une rivière qui longe et sépare d'un autre poligono. Le tout avec beaucoup d'arbres,de verdure. Alors j'ai assez pour remonter au poligono de Parets en moins de 9h. Et c'est pas la place qui manque. C'est bien on choisit son poligono pour roupiller, une vraie impression de liberté, c'est pas le stress de la GB quoi. Je valide CAT dans la rue du client à 17h30, y a un resto routier pas loin, ce sera parfait pour la douche et le napolitano demain matin. En attendant je mets les baskets et vais faire un tour au bourg dortoir de Parets del Vallès.