FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2017 Partager sur Facebook
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  • c'est le business
    les dentelles de Montmirail
    Olives noires
    Valréas, on vide la vide
    Saint Priest
  • Vendredi 5 Mai 2017
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    Je dors toujours bien dans ce bled. Une fausse note, la boulangerie, hier soir, après avoir validé, vers 19h35, j’y suis parti à pinces immédiatement, mais ça venait de fermer, et la dame de remballer ses produits des étalages ne m’a pas calculé.. Purée, j’avais regardé sur ggl, c’était marqué jusque 20h. Je saurai m’en souvenir, c’est bon, ce n’est as les boulangeries aux horaires plus larges qui manquent sur cette 83. 

    Je veux bien subir beaucoup de choses, mais manger une salade sans pain c’est sans moi.

    Alors en revenant, parmi les 3 bistros de ce bled, je vois que l’un fait des pizzas. Aller, c’est parti pour une Reine. Le gars bien sympa, me raconte qu’avant il était ouvert le soir, mais il n’y a plus personne, il avait une douche mais a dû la boucler pour cause de non mise aux normes pour l’accès à personne à mobilité réduite, ce ne serait pas rentable de faire cet investissement, c’est sûr.

    Je mets en route à 5h. C’est le brouillard, rein d’étonnant vu le secteur qu’est la Dombe.

    Lyon via périf passe au taquet, c’est du bonheur de passer de bonne heure et de bonne humeur.

    Je garde l’autoroute, on oublie le boycott du grand capital Vinci et Cie, on est vendredi, faut pas déconner. 

    Je sors quand même à Montélimar sud pour raison d’hygiène et de grosse faim, bref occuper une 45 à Donzère. Je vois Lagaffe passer à quelques mètres sur la N7 quand je coupe le moteur, mais lui visiblement ne me voit pas. Soit il est encore plus âgé qu’on ne le croit et ça craint vraiment au niveau de la vue, soit c’est la connection von Büssing qui ne passe plus les accès de parking...

    Du temps que j’y suis je garde la natio jusque Piolenc et contourne Orange légalement. 

    J’arrive à Monteux via un peu après Sarrians. Ça vide à quai, la cariste bien joyeux et sympa me dit « ah salut gefco mulhouse ! » On se connaît ? que je lui réponds, « ben non, c’est marqué sur ton gilet ! » ah oui !

    Je constate que les emballages ont déjà le logo Opel en plus de PSA. Le business s’invite déjà dans la production.

    Vide à 10h30, je suis un peu en avance, vu que je ne dois recharger que cet aprèm à Valréas au 2eme que je vide. J’appelle Pascale si des fois en prévenant... Mais c’est pas gagné dans l’industrie automobile. Alors j’y vais tranquille à travers, Carpentras, Malaucène, Vaison. Comme ça revisitage des lieux des dernières vacances. C’était bien. Comme les Dentelles de Montmirail qui font penser à Montserrat( c’est ma chérie qui m’a fait constater ce détail, maintenant faudrait trouve un petit Pancorbo), ou bien le Ventoux. Je passe même à côté du camping que l’on avait squatté, à « l’abri du vent », enfin Vinsobres quoi !

    Pour traîner un peu, je m’arrête à la coopérative du Nyonsais pour faire le plein d’olives noires, c’est trop bon, et cette je fais un détour par une boulangerie pour faire mieux qu’hier.

    J’arrive à midi 30 chez la fournisseur à Valréas. J’ai eu l’intelligence de ne pas y aller par le centre bled.. Rassemblement de 3 Waberer’s sur le parking de l’entrée. Je sonne et peux rentrer de suite. J’imagine que les 3 hongrois vont tanquer ici les 3 jours. J’espère juste qu’ils ont un carnet TIR de l’époque hungarocamion dans leur paquetage en cas de victoire de MLP dimanche. 

    Je vide de suite, c’est par le côté, ça part bien, pas le temps de faire 15.

    La suite, j’avance plus loin, aux éxpés, là c’est flou, et c’est surtout le changement d’équipe.

    Je peux quand même me mettre à quai, ça part pas trop mal quand même.

    Je casse la graine avec mon pain fendu, très bon. 

    Par contre, ça ne bouge pas trop. En fait, il ne savent pas si je suis le régulier ou le supplémentaire. Moi non plus. Enfin, d’après moi je suis le supplémentaire vu que je ne suis jamais venu ici. Ils prennent mes plaques pour se renseigner auprès de Gefco Lyon. Ça attaque quand même vers 14h30. Pareil, mixe de conteneurs grillagés et boîte plastiques, mais avec des pièces dedans. Ce n’est guère plus lourd, pas 5t encore.

    Je me sauve à 15h30 enfin. Direction Montélimar via Grignan, c’est bien joli partout cette Drôme provençale, château, transports Daniel...

    Je reprends l’A7 à Montélimar sud. Ça roule tout bien, même le grand boeuf reste tenable sans doubler. 

    A Lyon c’est plus pareil. Grosse misère sur l’A46, il y a un carton au niveau de St Priest d’après map. Je sors à Mions et passe par la ZI et passe St Priest où ça circulait aussi, pour reprendre l’A46 juste avant l’accès de l’A43. Je pense quand même avoir gagné quelques minutes et surtout c’est bien calme une fois ici en aval.

    Alors je file tout droit sur la rocade est pour sortir aux Echets et reprendre la N83. 

    Pour changer, je me pose à Servas, mais un poil plus tôt qu’hier. Par contre, j’ai fauté, y a 9h06 de conduite à la montre.