FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2018 Partager sur Facebook
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    le jardin d'hiver du perthois
    French International driver
    Charlevilliner
    viva rse
  • Vendredi 6 Avril 2018
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    Je pars carrément tard, 4h30  Je serai en forme ce weekend, surtout qu’il y a marche populaire au programme, 10 bornes,on commence petit.

    A29 A26 jusque Reims, comme hier, quand on est du matin, y a pas trop le choix. 

    Après presque 3h30 de chemin, je mérite un arrêt à Perthes, pour une bonne douche et un pain beurre bien bon aussi. Un bail que je ne m'étais pas arrêté ici. Ici, c'est une enclave du Bas Rhin, il y a du STV, Huck, Bleger... 

    Je repars avec un pâté c(h)ampagnard pour ce midi. 

    À Nancy, vu que je suis encore assez en avance, je sors à Ludres voir au lavage. Mais je jette vite l'éponge, c'est blindé de camions, à peine on doit pouvoir se garer. J’ai beau avoir le temps,ça m'ennuierais de passer 1 ou 2h juste pour laver. Et surtout je me brosse bien de rouler avec un camion pas rutilant. 

    Je reprends la route vers Collar, et encore arrêt à la Access de Anthelupt pour faire l'adblue que j’avais oublié hier. Il faut beau, c'est top, ça chauffe presque derrière les carreaux, on ne va pas tarder à pouvoir vérifier le bon fonctionnement de l’air conditionné. Et le Bonhomme est ouvert au moins. 

    J'arrive avec bien 2h d’avance à la Scap68, celle le long de l’A35, où y a toujours plein de frigos. J'ai le droit de revenir à 14h30, soit 45’ avant le rdv, ça va. Je ressors dans la rue pour pas gêner les types à quai, et casse la graine après le passage au mo du pâté perthois. 

    Pivotage du siège pour le mode stand bye et il est vite 14h30.

    Faut pas se réjouir trop vite, y a 3 complets de lait toujours à quai, un se libére, je reprends. Mais une seule cariste. Les mises à quai occupent déjà bien, y a juste la place, la murette en face est un vrai Picasso.

    Je trouve de sympathiques camarades dont un Ponthieu qui a l’obu et une box au pare brise, rien de tel pour j'ai envie d'engager la conversation. Ça lui arrive d’aller encore à Wien. Cool. Idem à côté, y a un Corsi, il raconte qu'ils vont aussi un peu partout. Ça donne de l’espoir. Et surtout ça occupe le temps à attendre que ça vide. Je repars péniblement à 16h15, il faut encore aller aux palettes à la base du Ladhof,c est pas loin mais pénible quand même. Là bas, pas un quai de libre, ils en chargent un complét et un autre attend. Au 45’ d'attente...Je sonne Pascale pour raconter mes misères, et comme elle est coole elle me dit de ne pas attendre et de lui ramener le bon. 

    Je redescend à Mulhouse pour charger une partie à quai,du 76. C'est pas emballant au 1er abord mais ouf, je compléterai avec du 80, alors ça contournera bien la RP,ce qui n’est jamais négligeable un lundi matin.

    C'est pas du rapide non plus, enfin presque 1h, je suis pas le seul. Je repars à 18h15, faut passer à Vieux Thann pour le 80. D’abord c'est le bouchon mulhousien. Peu importe, je ne me fais plus d’illusions, ça va être mort pour rentrer ce soir. À Cernay je croise le père Tibo qui descend à l’usine, pour vider et recharger pour son 4eme tour Charleville de la semaine qu’il monte demain. Il ferait mieux de descendre une fois en Italie pour se faire poser une bonne antenne, on n'entend rien de ce qu’il dit.

    À Vieux Thann ça ne traîne guère,c'est des pièces. Je repars à 19h15, je n’ai plus qu’à aller me poser au parking en face des PPC de Thann, j’ai voulu démarrer à 4h30 ce matin, il faut assumer maintenant, et de toute façon la 3 eme 10h n’allait pas tarder à être entamée. Il n'y aurait eu qu’une des 2 conditions remplies, peut être on se serait permis une dérogation.