FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Février 2017 Partager sur Facebook
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    A13
    la bonne 19
  • Mardi 7 Février 2017
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    7h20, je rentre un poil plus tôt que prévu dans l’usine pour faire le crochet par le 1er bureau vu hier, il y a des distributeurs. 

    A la bonne place, je retrouve les même gars qu’hier. Ça charge tout de suite, par un côté, même pas besoin de dire, alors, Saviem, Saviem ? Non non, c’est Volvo...

     C’est pas du jojo, mais ça tient debout quand même. Une sangle sur la dernière rangée avec les barres suffiront. On peut voir les semis belges décrochées avec bâches ouvertes, on peut voir les moteurs qui arrivent. On imagine que les verts sont pour les modèles diagonale et les noirs pour les modèles losange.

    Je me sauve à 8h40, via la N13. Arrêt pain à Croissanville, dans un bistro qui fait dépôt. On achète son pain avec BFM à la télé, c’est la grande classe.

    Autre arrêt déjà à la Access au rond point entre Bernay et Brionne pour du gazole et une douche. Il ne pleut même pas, il fait plutôt presque beau, dingue, on est en Normandie ou quoi, tout fout le camp.

    Paris, c’est bien rouge sur le périf et l’A86 en cette fin de temps de midi, alors grand tour par la 118 et 104. Que c’est long, surtout que ça ne roule pas à une cadence élevée. Et faut encore éviter le dernier d tronçon de 104 à Lieusaint en passant via Moissy Cramayel, cause accident. Je ne sais pas si j’ai gagné quelque chose car il y a un sacré paquet de feux. Mais on arrive pile en face la D619 et Guignes. Surtout que je vais redescendre via la 19. ça changera un peu. Et puis c’est la route de Belfort, comme c’est qui en a qui dise.

    Je casse enfin une graine avant Nangis, il est déjà 14h30, mais en moins de 30’.

    A la radio, dans l’émission de Fabrice Drouelle, il revient sur le mystère d’une intoxication déroulé en 1951, le pain maudit à Pont St Esprit, il rendait fou. J’en sais quelque chose, mais c’est quand je n’en trouve pas que je deviens fou. 

    Je boucle la pause en 30’, après Romilly. Là ça repleut bien. 

    J’enquille l’Autobahn 5 à Troyes, même si demain est encore incertain, pas de nouvelle. 

    Ça gagne quand même bien 1/2h sur le trajet Troyes Langres.

    Je finis chez Pierrette à Couthenans à 20h10, tout bien pour valider une petite 11h.