FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Février 2017 Partager sur Facebook
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  • pas bougĂ©
    la comtoise
    N73
    RCEA
  • Mercredi 8 Février 2017
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    La 11h a débordé de 15’. Le pain beurre était tellement fameux. 

    Mise en route à 7h25. Du coup j’ai le bouchon à l’échangeur merdique de Sévenans. Sur le coup je n’ai pas été très Trévenans.. Pas grave, je suis presque au bled où je vide, Châtenois les Forges. J’y arrive à 7h50, déjà un belge est à quai, en train de charger des bras de suspension pour Volvo Oostakker sans doute. Le cariste me dit que le cariste du vide va seulement arriver à 8h. Il me dit où me poser. Impec. J’ouvre un côté, presque 2, on verra. Il arrive et attaque de suite. Bon je n’aurai pas besoin de tout ouvrir, juste tirer la bâche de l’autre côté, il poussera. Je n’étais venu ici qu’une fois, il y a bien longtemps, dans les années 90, charger pour Wörth chez Merco. Je me souviens qu’en arrivant à la firme à l’étoile, il fallait préciser la marque de notre camion sur la feuille d’entrée. Pareil au sujet des pneus dans une usine de pneus Fulda, dans la ville du même nom. Ah les allemands, ils aimeraient bien qu’on fasse tout comme eux.

    Une bonne heure après, c’est refermé, que le tel sonne, c’est Pascale qui a du taf. Une petite bobine de 17t pour Rennes encore, et des emballages pour ailleurs. Cool, faut juste pouvoir vider le Rennes demain aprème avant 15h.

    Une petite heure pour remonter à Mulhouse. A la bobine en 1er car il y a 6m d’emballages à prendre, donc ce sera plus simple dans cet ordre. 

    20’ comme d’ hab pour poser le coil par les soins du vosgien, papiers inclus.

    La suite, le vide, c’est au 4C1, il est 10h55, heure critique puisque c’est la pause à 11h. Bon je suis quand même pris en compte juste avant. A 35, un cariste me trouve, et on charge. C’est pas du lourd, mais répartissage quand même, 3m au tablier et 3m aux portes.

    12 h15 c’est fini, impec pour une fois ici. Peut être il y a des caristes vosgiens dans cette équipe ?. 

    Ces emballages sont pour Châteauroux, alors on oublie la N66, le Bussang, la N4 et tout le tralala,  à moi la direction enfin de un petit peu le sud. 

    C’est dingue comme la charge d’une bobine ne se ressent pas, il y a peut être 19t avec les emballages, les côtes de l’A36 se dévorent facile, une petite vitesse à tomber à peine.

    Cassage de graine à Marchaux, la Esso est refaite à neuve, j’avais jamais fait gaffe.

    Je quitte comme d’hab l’autoroute à Dôle pour retrouver la paisible et jolie N73. Que du bonheur de prendre ces axes, ça change. Un peu plus je m’oublierais et continuerais jusque la Bretagne espagnole comme ça. Dire que il y a quelques années, il y avait eu une série de bobines comme ça à descendre à Vigo. 2 mois non stop, 2 mois de vacances quoi.

    Je boucle la pause par un second arrêt de 35’ à la Total du rond point de Montchanin où un camarade de N4 perdu tout comme moi m’attend pour un café, Nico72, ça fait drôle de se croiser ici, avec des Bernardo Marquès ou autre Marcotran en fond comme décor, ça change quand même des Routest ou autres N4 oeillères.

    Naturellement on voit pas passer les 35’, de plus il livre en fonderie à Mulhouse demain, alors y a avait de la procédure à lui expliquer.

    Je fais encore un bout de RCEA jusque Montluçon où il faut reprendre la route de la Galice française via Châteauroux. Ma foi ça roule bien ici aussi, les 19t volent dans les bas et hauts des cuvettes. Je pourrais arriver à Châteauroux ce soir, mais je stoppe 10 bornes avant à Ardentes où il y a une belle place, afin de valider une 11 correctement. Y a un distributeur de pizzas, je vais tester ça, j’ai envie de Bouffer un truc ! Et olive sur la pizza il y a des toilettes publiques.