| Carnet de bord de Juin 2016 | Partager sur Facebook |
Petit resto, mais efficace, ferme tard, ouvre tôt. Démarrage à 6h35 sur la N6 qui est dans le brouillard.
A6 à Avallon. Et le soleil se pointe enfin.
J’arrive aux labos où je vide à Auxerre à 7h45, en plein édito de Thomas Legrand. Je loipe un peu, mais pas grave, il doit dire à peu près la même chose qu’en 2006 ou 2011. Bon, il nous épargne le cass’toi...
Je mets à quai presque de suite, et ça vide aussi vite qu’hier à Montélimar, à 2 gars.
Mon voyage de ce soir a une discrétion commerciale, etr j’ai le bon dans mes mails, mais je ne peux l’imprimer. Je demande au cariste si il peut m’imprimer ça via sa boite mail si je lui transfère. Il veux bien, mais il n’arrive pas à se connecter. Pas grave.
8h20, je repars au nord provisoirement, juste pour aller au gazole à la Access à Moneteau. J’en profite pour demander au caissier s’il pourrait m’imprimer mon BL. Il veut bien aussi, mais la cartouche d’encre est vide. Il en cherche une partout, je dit à ce brave de laisser tomber tout en le remerciant.
Je file à l’extrême sud de Auxerre pour aller charger de l’isolation dans une grosse boîte. Aux expé, est affiché une note de service où est entre autre rappelé la règle en matière de cabotage, en diverses langues.
Ça charge bien rapidement, par les 2 côtés. Et clou, c’est du super léger. Je quémande encore pour imprimer mon truc, le cariste me suggère d’aller à la réception en ressortant. 9h50 je repars, en passant donc à ce bureau. La dame comprend ma demande et me dit de rentrer.
Je transfère le BL qui fait partie de 3 doc dans un même PDF. Ça marche pas, du coup je transfère le mail complet, qui comprend mes instruction de ce matin, puis de la suite de cet am qui concerne ce fameux bl. Pendant ce temps, je vis la vie de bureau, genre Catherine et Liliane. La dame doit appeler un resto pour une réservation ce midi pour 5 personnes en hésitant si en terrasse ou non.
Mon mail est bien transféré, et je lui demande de n’imprimer que la 3eme feuille. Nickel. Je pose une pièce de 50ctes sur l’imprimante en indiquant que c’est pour le café. Elles ne veulent pas. Elles n’iront pas loin avec ça, car leur machine devait être une n’espresso.
Je repars tout content avec mon BL.
Direction Pontarlier pour cet am. Je prends l’A6 tout de suite sans tortiller. C’est ennuyant, mais c’est vrai que l’on est vite à Dôle où je quitte l’A36, il est midi 20.
Continuation en suivant Pontarlier via Parcey, Mouchard, Salins les bains. C’est superbe tout ça. La montée après Salins est cool avec 3T. Je casse une graine vite fait en 20’ avant d’arriver après Levier.
Je me pose dans chez le client qui fait dans le béton, une énorme boutique, voisine des transports Colinet.
Là encore, ultra rapide déchargement, 30’ dépoilage des 2 côtés inclus. Bon j’ai pas remis les planches en place vu que je recharge pas loin et que ce sera sans doute par les 2 côtés aussi.
Je chambre un peu le cariste en lui disant espérer que ce sera un peu plus rapide la prochaine fois !
15h05, je suis dans une des nombreuses scieries de Levier. Tombé sur la bonne du 1er coup.
Ça va vite et bien les 2 côtés forcément, et quelques sangles la dessus. Un beau chargement, tout identique. La dame me dit 24t. En repartant, je regarde l’odb, c’est pas précis, mais je dirais plus 28t.
Je suis chargé pour Ennery. Pas Ennery dans le 57, mais dans le 95. C’est pas pareil. Par où j’y vais. La descente sur Salins ne m’enchante guère avec mon VEB en rade. Je vois une pancarte Valdahon depuis la ZI. Y a pas un grand bout d’ici la N57 à Ouhans, d’après l’atlas. Aller go, c’est de la petite route mais ça ira sans VEB. Je pense avoir fait le bon choix, j’arrive à Besac juste une heure après. Mais trouvé un peu le temps long dans la descente sur Beure. Y aurait pas fallu qu’elle soit plus longue. Je me demande comment je faisais avec les 340 dans le Val d’Aoste avec juste un frein échappement peu efficace quand il n’était pas défaillant, où des fois le clapet sur l’échappement restait fermé, résultat, le moteur calait en bas, et fallait lever la cabine pour lui taper dessus. Et tout ça bien plus lourd qu’aujourd’hui.
Ce terrible tronçon passé, hésitation de monter tout par autoroute, A36 puis A6. Je reviens à la raison en prenant la route de Langres via Gray. Il est 17h, ça ne change plus rien pour la traversée de la capitale aux aurores, c’est râpé.
Cette route va super bien, quelques cuvettes permettent de maintenir la conso assez basse. Bref, une belle route de haute Saône.
A31 à Langres et A5 pour en ressortir à Troyes et se poser dans la ZI de Lavau, juste à côté du gge Volvo. Il est 20h30, je suis content. Pourquoi ? 697 kms au compteur. Ça va mieux comme dirait l’autre !