FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Janvier 2017 Partager sur Facebook
  • Photos
  • RD231/N36 kreuz
    Picardy joly
    Rouen/Seine
    caca
    le Paris Caen Cherbourg
  • Lundi 9 Janvier 2017
  •  

    Mise en route à 4h30, c’est encore bien assez tôt. Je ne sais pas encore si je viderai tout aujourd’hui, j’ai regardé les bornes hier soir, un peu comme un collégien qui fait ses devoirs au dernier moment. Dans tous les cas, c’est plus tranquille que de vider du Caen à 10h.

    Par contre, c’est le brouillard qui n’est pas resté tranquille, ça contribue à amplifier déjà la fatigue. 

    Pause gazole à l’aire des gravières à Sommesous, ça réveille. Je ne sais pas ce qu’ils fabriquent, mais ¾ de la station sont en travaux, tout comme la Total de Vincey qui a l’air fermée depuis quelques semaines. Ne seraient ils pas en train d’emménager ces stations en truck stop Total ou un truc comme ça.

    Je ne fais à peine 15’ et repars dans le brouillard. Y a Juju du 42 qui me sonne pour les bons voeux, il a reprit cette nuit, 10 clients, bref, il est en forme. J’en profite un peu pour faire dans la nostalgie et lui dire que le lundi matin, en partant de Mulhouse, je filais jusqu’au rasthof de Bergstrasse sur l’A5, station où il y a une photo de cette station même telle que, en 1967, avec des Coccinelles entre autres garées aux pompes. Je tiens à dire que les lundis matins de cette époque étaient tout aussi raides pour moi. Ça va certainement être le lieu de coupure de Juju cet am. Et le pauvre, il va redécouvrir les joies de ne pas pouvoir écouter notre radio nationale, fin du 162 oblige. Tant pis, il réécoutera Stéphane Bern, mais sans Vincent Roca, il n’a as suivi sur RTL, lui.

    J’arrive en 4h28 à la sortie de Vaudoy vers la RD231, où je peux me poser pour 45’ en face du gge Merco.

    Je continue sur cette 231 jusqu’au bout. Je vais à Mitry Mory, et d’après le Sytadin, tout est vert, l’avantage de ne partir pas trop tôt. Alors je vais à la ZI de Campans par la 104. J’arrive au fournisseur un peu avant 11h et en repars à peine 20’ après, délesté de 2m d’emballages.

    Le 2eme est dans le nord, le nord du 60 surtout. Etant presque en province, je continue sur la N2, puis Senlis par Ermenonville. On passe le long du parc de la mer de sable. J’envoie la photo à ma chérie, elle me répond que ce serait un parc à l’initiative de Jean Richard. Je ne savais pas. Beauvais, direction le Tréport, ça roule tout bien, plus de brouillard du tout. Par contre ça salit, tout, les carreaux, les parois, devant, derrière... Sinon, plus ça va, plus j’aime bien la Picardie, il y a des bleds magnifiques. J’arrive au mien, à Grandvilliers, il est 13h10. A part que je me goure en suivant réception (matières 1éres), alors que c’est plus souvent aux expé qu’on vide les emballages en général, j’ai un quai de suite à ces fameuses expéditions.

    A peine le temps de faire 30’, les 5m sont sortis, j’en profite pour refaire un tour des carreaux et feux pour meubler.

    Direction le dernier à Brionne dans le 27. J’appelle Pascale pour prévenir que ça devrait passer, elle me répond  que rien ne va mal, je recharge demain à Epernon.

    Je vais aller voir pour vider quand même. J’y vais par au dessus, Aumale et A28. Rouen St Etienne du Rouvray passe presqu’à fond. 

    J’arrive à Brionne par la 138 à pile 16h, pas de problème, ils me vides les 6 derniers mètres tout de suite. Impeccable cette petite tournée en emballages vides, ce n’est pas le boulot pénible du tout.

    Avec 9h35 de volant, je n’ai plus qu’à retrouver la N13 jusque Nassandres pour se poser au Paris Caen Cherbourg, 9h50 de volant, c’est parti pour le validage d’une 11h.