FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Janvier 2018 Partager sur Facebook
  • Photos
  • La guirlande de la 118
    Canteleu
    C'est pas facile
    Mais on va y arriver
    Rive droite
  • Mardi 9 Janvier 2018
  •  



    Bien dormi, zen, avec des batteries neuves quoi, mais sans chauffage, à 7 degrés dehors, y en a pas besoin. Douche et pain beurre à ce qui s’appelle encore l’Arcotel et démarrage à 7h10.

    C’est l’heure limite, la 104 est encore verte, l’A6 vaut mieux pas, juste la 118 passe au ralenti, en 1h30 je suis sur l’A13, un matin lambda, pas trop catastrophique. Je vais à Canteleu, sur le port rive droite à Rouen, à un moulin. Faut juste aller tourner au pont Flaubert. J’arrive à 10h30. Étonné, je vois le collègue 68 à quai. Il y a une belle place pour vider dehors, mais c’est pour dedans, logique. Ils arrivent à sortir une partie à quai, mais pas tout. Je m’attendais à une grue, et bien non. Le collège vient d’ attaquer, il avait coupé 11h devant. Bref on n’est pas quitte. Finalement je ne viderai pas à quai, ce qui serait impossible, mais à un autre endroit, dans une petite rue en marche arrière, de l’autre côté du bâtiment. Y a le temps de dessangler. Ils me font signe à midi, ils n’arrêtent pas, heureusement, j’ai un rechargement prévu début aprem. Bon, une fois reculé, c’est pas gagné, c’est étroit, face à une porte où rentre le matos. Y a un bon fen et un manuscopique de location qui n’atteindra jamais la partie avant de la semi.. Déjà le type galère pour trouver le fonctionnement des stabilisateurs. Les 3 petites pièces sont déjà tout un feuilleton à sortir. Mais les 2 grosses devant.. Un poseur commence à me dire qu’il faudra peut être revenir de l’autre côté sur la grande place, juste pour reculer les machines avec le manuscopique sur le côté, et revenir ici les choper par l’arrière… 2 navettes..c’est du cabotage à Rouen intra muros ça, est ce que les Normands vont être d'accord?

    Bon, la 1ere, ils arrivent à la tirer, ouf. La 2eme c’est plus scabreux, ils la recule en la levant au fen, avec l'arrière de la machine soulagée par le manuscopique au bout du bout et j'avance. On aura mis du temps mais c’est vide, et avec des gars assez sympas, pas trop regardant sur la sécurité sinon on y serait encore pour un bon moment. L’an passé, j'avais livré une machine comme ça sur le Havre, où une grue était là, mais un service de sécurité de chantier aussi. Il fallait presque négocier pour monter sur sa propre échelle. J’y avais bien passé 3 4h aussi.

     Le début d'aprem est bientôt passé, il est 14h30, j’ai prévenu, ça ira. 4h passé la comédie, j'ai pu avaler une boîte de maquereaux entre 2 manoeuvres, mais j’ai un de ces mal au crane, fait pas chaud en Normandie.

    Où je recharge, c’est au papier à St Étienne du Rouvray. À quai, un peu de monde, je prends un cacheton en attendant.

    C’est de la grosse bobine, en quinconce, des gommes dessous, une sangles sur la dernière, c’est parfait. J’en repars à 17h avec plus de 27t. La destination est parfaite aussi, puisque c’est du 30, Gallargues, pour jeudi, on garde l’habitude des petits ou grands triangles et c'est une bonne chose, même quand Pascale est en congé.

    Je descends tranquille via Évreux, Dreux, avec le bouchon permanent de St Rémy sur Avre, mais pas de pression, je ne cours pas. Je ne pousse pas non plus, et stop un poil avant 20h à Toury, comme ça validage en règle d’une 11, et permettra j'espère de régler mon mal de crâne