FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juin 2018 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Chassillé
    le papier alsacien et le papier portugais
    Manche
    fait avec amour
    vers le Perche
  • Mardi 12 Juin 2018
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    Très bon resto dans un joli bled, j’y ai donc validé 11h après une douche et un pain beurre ce matin. La pluie est de nouveau de la partie, donc décollage en douceur. Je reprends l’autoroute à Vaiges pour gratter quelques rond points de Laval. Mais sortie à Laval nord pour tomber sur la bonne zone toute proche, à Changé. Déjà un Patinter au client de papier, le chauffeur,un portugais pure souche arrive de Setubal, la classe. Il a peu à vider, je prends la suite et me sauve à 8h45. Direction le 50, St Lô. Bien que je retrouve une meilleure tenue de route, je n’ai pas trop envie de faire tout à travers. J’opte pour rejoindre Fougères puis A84. C’est bête, je n'aperçois pas le Mt St Michel avec ce temps. Longtemps que j'étais pas passé par là. Sortie à Villedieu les poêles et une petite demi heure pour rejoindre Agneaux, en banlieue de St Lô. Il est 11h et quelques, les abris pour bétail sont rapidement vidés, c'est à une plateforme de matos pour agriculture. Bref c'était des abris pour Agneaux.

     

    J’ai mon billet retour depuis hier, c'est pas du Caen, mais du 14 quand même. C'est bête, j'étais bien dans le 50, c’est joli, dépaysant. Il est 11h50 quand je passe devant l’institution qu’est le Guilberville, mais je ne m’arrête pas. J'arrive à 12h40 au fournisseur à Condé sur Noireau. Pas le meilleur horaire, et ça va changer d’équipe. Si j’avais su, Guilberville..

     

    Pas grave, j’ai des pilons de poulet cuisinés par ma chérie au frigo, c’est très bon aussi.

     

    À 13h30 je vois un chef, qui me dit qu'il y 2 créneaux devant, faut attendre, le truc habituel de l’industrie automobile quoi. Surtout que je ne fais que reprendre des emballages inutiles. Je me plains quand même chez Pascale, on verra. Je me mets dans la couchette et un peu après 14h ça bouge. C'est finalement un type de la réception qui s’y colle. Une vraie brute, on s'en que ça l'ennuie. Mais fortiche quand même vu qu’il n’a rien cassé. Du jus de rouille ruisselle de partout sur les rives de la semi et les carénages. C'est vraiment horrible ce qui m'arrive.

     

    Chargé à 14h50, voilà, 2h de grillées, direction Mulhouse par je ne sais où, c'est paumé ici. Le mieux est de filer tout droit, tenter de retrouver la N12. Et pis l’A13 est fermée paraît il. Ça doit encore un beau binz à St Rémy sur Avre du coup. Pas motivé à passer par là, ni d’arriver sur l’A86, je ne fais que croiser la N12 et file vers le sud, par Châteauneuf en Thymerais, comme j’avais passé la semaine dernière. Ça fait descendre à Chartres. C’est pas l’idée du siècle non plus, sans parler des rond point de Chartres, ça va que je n’ai que 16t. Maintenant que je suis là,  je continue au sud, la 154 et A19 à Artenay. Purée c’est long, j’ai pas fait une affaire, à part éviter la 104 sud, enfin j’aurai bien l'occasion de la reprendre quelques fois d’ici la retraite.

     

    Quoi qu’on fasse, de la haute comme depuis la basse, c'est toujours chiant de rentrer de Normandie en y partant en milieu d'aprem.

     

    Je fais les 30’ sur une des rares aires de la très ennuyante A19. Dur de trouver de la place malgré la fréquentation de cette autoroute qui paraît faible. Il fait presque bon reprendre la natio à Courtenay. Je fonce de l’autre côté de Sens, à Malay le grand, au parking pl de la zone industrielle. C’est blindé, mais pas besoin de chercher beaucoup pour trouver dans la rue. Il est 21h.