Carnet de bord de Juillet 2017 | Partager sur Facebook |
Bien dormi cette fois, pas embêté. Bon, peut être qu’ici, les moustiques sont souvent en grève..
Mis en route à 7h30, 3’ après je suis au PLIP. Déjà pas évident de se garer.
La file au guichet, la dame dit que c’est à cause du jour férié, il y a le double de camions aujourd’hui. Ça promet. Ça se confirme quand vient mon tour, je ne suis pas prévu.. André m’avait dit 9h, bref, normal. Elle prend mon 06 pour faire signe si un trou dans le matin.
J’appelle André à 8h15, ben oui, on t’a annoncé pourtant...
Bon attente et puis c’est tout.
J’allume le pc et fini de faire un peu de tri de photos, le temps passe toujours vite comme ça, surtout que là je remonte des photos de plus de 3 ans.
Au bout de 3h, mon 06 n’a pas sonné. Je retourne au guichet. Attendez là !
J’ai quand même un quai à 11h. On avance. Oui mais là c’est la pause..
Vide à midi, je sonne à Mulhouse, « rentres comme ça ». Cool.
Et avec mon tel de fortune, je n’ai pas la bourse de fret. Ça m’enquiquine, je passe peut être à côté d’un 92 ou 93 pour le 68.. Bon aller on rentre et puis c’est tout. Sur Paris, ce n’est pas plus rouge qu’un autre jour, malgré l’arrivée de Air Trump One. Juste la 118 comme d’ hab.
Aller, je vais rentrer via la 31, c’est lent, mais moins risqué, mon amplitude a déjà morflé ce matin.
Rouen et les feux de St Etienne du Rouvray passe assez bien. Par contre, je zieute partout autour, pas un Marie Blachère dans les parages de toute la zone.
Tant pis, j’enquille la 31 à Darnétal et c’est parti pour rejoindre la Champagne. A vide, elle ne va pas trop mal finalement. Mais pas de boulangerie, juste loupé un distributeur de pain dans un bled. Pas grave, acheter son pain à l’automate, c’est pas très glamour quand même.
La 31, c’est bien, car y a de la pub murale à mitrailler, et souvent en meilleure état que la chaussée.
Beauvais, le bout d’A16, Clermont, Compiègne, rien de rien, et c’est déjà la 2x2, la misère.
Il faut arriver au bled où j’ai mis du gazole hier, à la frontière du 60/02 pour enfin voir une boulangerie en me garant facile, pendant un bouchon dans le bled.
C’est bientôt l’ heure du goûter en fait.
Du temps que j’y suis, je pour mes 4h30 jusque Fismes, et casse enfin la graine en 30’.
Une fois ici, c’est presque jouable de rentrer en 4h30, mais pour ça faut mettre le turbo..
Ça bouchonne un peu à l’arrivée sur Reims, et à sa sortie vers Chalon sur la 44, et à presque tous les rond points ensuite.
Mais à vide, on grappille quelques minutes par ci par là, comme dans la côte de Ligny.
Finalement, j’arrive à mon bled en 4h19, alors dans mon élan je continue et file me garer dans mon trou Couhenet, en 4h29, comme ça le plus dur est fait si jamais demain j’ai la motivation pour laver un coup. Ce serait lavage national !
Bilan du jour, 649 kms pour 9h01, elle ne va pas si mal cette vielle N31.
Bon feux d'artifice quand même!