FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Aout 2017 Partager sur Facebook
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  • RAZ batteries
    météo de rentrée à Oderen
    3 semaines que j'étais pas passé là! incroyable
  • Lundi 21 Aout 2017
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    Ben déjà le 21 !  Rien vu passer, comme chaque fois, mais ce fût bon, passé de bons moments. 

    Il est 9h, c’est la rentrée, je viens d’appeler Pascale, qui reprend aussi aujourd’hui. La consigne, descends chez nous. Pour repartir d’un bon pied, j’ai fais une charge lente des batteries cette nuit. Donc faut commencer par une remise à zéro dans le menu approprié.

    Mais pas que, le camion a des courroies, galets et tendeurs tout neufs depuis samedi, 500000 oblige. Donc faut faire retourner tout ça maintenant.

    La météo n’est pas terrible, 16 17, un vrai temps de rentrée.

    A Mulhouse, ce n’est pas mieux, enfin le ciel est un peu plus beau.

    Après le thème t’es allé où en vacances, on retombe vite aux choses sérieuses. Ça se confirme vu la tournée et destinations, 2x95, 1x76 pour finir à 27 Brionne. Un vrai programme de rentrée.

    Enfin, tout est ici, entre le quai et 3 magasins dans l’usine.  

    Je passe au quai en 1er pour du papier et du matos pour les magasins d’agriculture.

    A l’usine vers midi, j’arrive à charger 2 magasins tout de suite, dont le 4C1, incroyable. Le 3éme, la réserver, est en pause jusque 13h30. ça tombe bien, j’ai déjà faim.

    Ici, il reste 2 piles à prendre, Carlos ne traîne pas des heures comme d’hab, je m’en sauve à 13h40. 

    J’ai rdv qu’à 10h pour le Survilliers demain, juste à côté du 1er, Marly la Ville. Je pourrais faire une 3h à la maison, comme pour prolonger un peu le mode vacances. Mais il est préférable que j’aille aux pneus, le 1er essieu lèche le témoins depuis avant les vacances, il est temps de remplacer. 

    J’arrive à Chavelot à presque 16h, perdu 15’ car il faut aller tourner jusque Thaon car la 2x2 est en travaux et il y a basculement de chaussée. Ils sont sur un tracteur qui change ses pneu intégralement, il y aura un peu d’attente. Pas grave, et j’écoute un peu Onfray, les derniers jours des programmes estivaux, même si ce matin j’ai entendu que Demorand a repris le boulot au 7 9, mais lui c’est un bon.

    Je repars à 17h passé, juste pour 2 pneus. C’est du Conti, rechapé, j’ai pas trop l’habitude de monter ça, on verra bien si ça veut tenir.

    Je n’ai pas envie de reprendre la 57 dans le mauvais sens pour aller retourner jusque Saut le Cerf, alors d’ici, j’entreprends la traversée de Thaon les Vosges centre, par la vieille 57 quoi. C’est interdit aux 7t5 en transit, et comme souvent les interdictions ça fait bien gagner 15 20’. Je vois une voiture de police municipale et croise une kangoo de la gendarmerie, sans donner suite, ouf.

    C’est reparti pour la route 2017, la N4. 3semaine sans l’avoir emprunté. C’est marrant j’aurais dit moins. Arrêt à Pagny pour un peu de gazole, puis à l’aire du Barrois pour casser une graine en 30’. Les lundis sont difficiles en général, encore plus les lundi de rentrée, ça va être dur de pousser jusque Marly. J’inclus 10’ de sieste dans les 30’. Heureusement qu’il y a le rediff estivale de Drouelle, aujourd’hui avec Patrick Pesnost, car ça cause empoisonnement et agent secret russe. L’émission suivante sur le cinoche est sympa aussi, ça aide.

    J’enquille la D231 à Vaudoy pour casser un peu la monotonie. Mais ça faisait longtemps que je n’avais pas pris cette route, elle est bien défoncée aussi, du moins au début. Je finis par la simplicité, A4, A104 et A1 jusque la sortie Fosse, après Vémars, où je ne suis même pas allé voir si il y avait de la place. J’ai 9h55. Je traverse déjà la zone de Survilliers, vois un peu de place le long de Gefco, mais de l’autre côté et sur du trottoir pourri. Alors je continue jusqu’au client, et mauvaise pioche, impossible de garer à côté ou le long. Alors demi tour un peu tordu, ça a failli déjà être le baptême de la toute neuve bavette de la semi, et je reviens à 1km de là, pour me garer avec des portes push sur des places vues tout à l’heure. Résultat, 9h10, déjà un mauvais point le jour de la rentrée.

    Il est 23h10, assez travaillé.

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  • Barentin Platz
    Flaubert Bruck
    Rouen
    N13 liner
  • Mardi 22 Aout 2017
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    Finalement bien dormi sur ce trottoir pourri. C’est parti à 8h45, demi tour plus loin au rond point pour revenir sur mes pas et vers la plateforme logistique de pièces japonaises, cette fois ci ouverte. Il y a plein de conteneurs, mais j’ai un quai quand même de suite, et mes 2 piles sont vides entre 2 conteneurs.  Heureusement, j’ai quand même rdv à 10h au suivant mais tout proche, à Survilliers. J’y arrive à 9h35, le portier m’envoie à l’autre bout, alors qu’il y a une réception à l’entrée. Mais il est sûr de lui, c’est du Clairefontaine, donc du papier. 

    A l’autre bout, juste un type assez froid, autant que la machine à filmer qu’il alimente carton par carton, il me calcule quand même en me disant que c’est pas lui, que le réceptionnaire revient de pause dans 10 15’. Jusque là, rien à dire, il n’est pas 10h. J’en profite pour jeter un oeil au resserrage des écrous de roues. A 10h, le bon type se pointe, problème, je ne suis pas sûr sa grille de rdv.. Bon on va voir.. En regardant mes papiers il s’aperçoit que ce n’est pas pour lui mais pour devant, c’est des enveloppes, pas des ramettes. Bref paumé 1/2h grâce au portier. Devant, je suis quasi à la bourre, vu qu’il est 10h05. Pas de souci, y a le quai de suite, et je repars une 1/2 h plus tard, palettes vides reposées. 

    Direction la Normandie, vers Forges les Eaux. Alors via la 104 nord où tout est vert, et la vue sur Paris pas trop mauvaise, impressionnante de Montmartre à la Défense.

    A Beauvais N31 jusque Gournay en Bray, péniblement à 60 70, bref ça traînasse. Et le pire, même pas une boulangerie en vue. 

    Direction Dieppe, Forges les Eaux, pareil, ça ne roule pas. J’arrive au bled de Serqueux, en banlieue de Forges vers 12h45. L’enseigne de bricolage affiche fermée de 12 à 14h, et pire, que la réception ne se fait que de 9 à 11... 

    Peu importe, ne nous fâchons pas, restons courtois, même si intérieurement je me dis que j’aurais dû pendre 4 semaines..

    Ça jouxte un SuperU, je vais pouvoir aller acheter du pain, c’est déjà ça. Comme tous les Super U, c’est assez sympa, toujours de bons produits mis en valeur. J’en reste au pain, et prends quelques fruits quand même. J’aurai tout le loisir d’y revenir cet aprème si mon client fait du zèle de ses horaires.

    Après un bon repas, il est vite 14h, et le portail s’ouvre, je vais voir à pied la fille, ça fait moins arrogant. Et pas de souci, je peux rentrer sans la moindre négociation. En même temps je n’ai que 8 pal. Le cariste est sympa, il me demande d’où je suis dans les Vosges. Il a été routier en inter, sur la GB, l’Allemagne, la Suisse et l’Italie. Alors des fois il plantait dans l’est quand il n’arrivait pas à rentrer. Il pour Beauvais International, j’ai pas connu.

    Je repars 15’ plus tard pour le 2eme 76, St Pierre de Varengéville, près de Barentin. Comme souvent en Normandie je ne sais pas par où passer. A28 jusque Rouen, A29 ?  heureusement je croise plus loin un Daf orange du 24 en boîte, c’est le formateur 88. Il m’appelle, et m’aide dans l’itinéraire, ce sera A28, et contournement de Rouen par le nord, Marommes et Barentin. Juste Barentin qui est un peu chiant avec des bagnoles garées de chaque côté dans un sens unique. Mais Sylvain me déconseille vivement de longer la Seine, via Duclair, touristes oblige. Impec. Et ça m’a fait plaisir de papoter un peu avec. Bon, le Daf fait 2l de plus que le Fh mais il est satisfait du volume de la SSC.

    J’arrive chez l’emboutisseur vers 15h35. Et là, pause aussi. Cette journée n’avance à rien.

    Peu importe, je découvre le mail de la suite, ce sera à un bled en dessous Evreux, avant 17h ou demain 8h. Comme ça les choses sont classées et on ne s’énerve pas.

    Je repars d’ici à 16h15 et sûr mes pas via Barentin et l’A150 sur Rouen, sur les conseils du prof toujours. Ça roule nickel c’est vrai, j’ai déjà dû faire une fois via Brotonne, il fallait un certain temps pour rejoindre le pont déjà.

    Petit bout d’A13 et direction Alençon par la natio à Maison Brûlée.

    J’arrive à Brionne vers 17h30. Personne à la guitoune de l’accueil, zut, horaire d’été encore bien. Mais un Léxovien charge dedans. Je m’inscris quand même sur un écran tactile, et le cariste fini par venir m’ouvrir. Cool. Je suis vide à 18h15. C’est malheureux, cette fois ci un Caen pour Mulhouse de 20h m’aurait bien arrangé, mais y a pas aujourd’hui.

    Plus qu’a descendre sur Evreux tranquille. Je fais un arrêt à la Access tout près, au rond point de la N13. Mais douche en panne. Tant pis, je vais aller au resto à Ecardenville, un peu plus loin, une bonne adresse à la normande. 

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  • Normandy
    aurore de N13
    Seez Nagel Mesnil Airport
    le bon boulot
    N4 liner
  • Mercredi 23 Aout 2017
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    Je quitte cette bonne adresse à 7h30. Petit bout de N13 avant de descendre sur Conches en Ouche. C'est à un bled à côté, Seez Nagel Mesnil, dans une zi appelée « les Pistes ». C'est donc sur un ancien aérodrome. Un peu comme à Fontaine dans le 90 mais plus petit, et plus à l'abandon. C'est même peu évident de trouver ma boîte, je tente une voie en vieilles plaques de béton, mais recule assez vite, car la marche arrière sera longue si je tombe sur un cul de sac. Et je reviens pas un autre bout, guère mieux mais qui arrive quand même à la caisserie.

    Au bureau, la dame m'envoie le cariste pour éviter que je me perde encore, et le suit. Chargement par un côté, en 3 coups de fourche, puisque c'est des piles d'emballages vides en bois de 4m de long. Comme ça j'ai le luxe de pouvoir caser les pal eur à l' arrière. 

    Le cariste est bien sympa, et je quitte l'aéroparc à 8h45, avec 6t, fin bien. De là est fléché Evreux à 19kms.

    A13 à Chaufour, et le matin est bien entamé pour traverser la capitale. Ça passe tout bien via l'A86, période estivale encore oblige. Faut profiter.

    Cette sérénité si rare dans le travail me pousse à caler le régulateur à 84 sur la N4. J'arriverai à la maison cette fin d'aprème de toute façon. Cassage de graine sur un parking juste avant Beauvais la Noue. Et je finis cette journée à 84 toujours, et avec l'émission sur Dutronc l'aprème, c'est vraiment raccord, cool quoi. Il se prend quand même moins au sérieux que Aznavour le gars. Ma vitesse moyenne n'agace personne, sur la N4 et c'est très appréciable.

    Je me pose à mon bled juste pour 17h, sans avoir manqué une miette de Onfray, impec.

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  • Krutherkreuz
    Gefco Illzach
    #jesuispâté
    bouchon à Sancy
    yeeees
  • Jeudi 24 Aout 2017
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    6h20 c’est parti. Presque une 13h à la maison c’est pas mal. 

    Avec mes 6t, Oderen convient parfaitement. Et Thann valley en août c’est appréciable aussi. Même les travaux Mulhousiens passent crème. Du coup je suis bien avant 8h à Illzach, alors je vais au gazole et adblue à la Access, ce sera fait. Je ne sais pas du tout où je vais repartir, Sochaux, Trémery, Poissy, Rennes, Trnava, Vigo ?? je m’emporte là... Bon, je ne force pas le destin, je ne fais qu’un réservoir car j’ai la flemme comme d’hab, et il restait ¼, soit 380l, largement approprié pour une distance de l’an 2017. 

    8h je me présente à 2 rues de là, chez Gefco qui sont installés dans un des nombreux dépôts Tym, car plus de place aux dépôts de l’agence. Je vide assez vite mes 3 piles d’emballages, encore que le cariste coupe en 2 les piles car ça balance sur son petit fen.

    A 8h30 je file à l’agence, voir Pascale pour la suite. Après avoir posé les pal eur au quai, je rechargerai dans l’usine à la réserve d’emballages pour du 61. Parfait.

    A peine dans l’usine, un mail déjà de Pascale, demain le retour sera dans le même bled. 

    A la réserve, personne au bureau, comme souvent quand ils sont en train de charger. Après bien une attente de 30’, Carlos revient, on fait les papiers puis on rentre sur la plateforme avec le polonais qui vient vider de la boîte plastique neuve en provenance d’Allemagne. Pas du Brandenburg ou de Poméranie, mais du Bade Wurtemberg. Du moins si le code postal 74 (que j’ai reluqué sur sa cmr) est toujours situé dans ce länder voisin..   

    Les 2 camions qui chargeaient devant qui s’en vont sont portugais, ça explique l’attente, ça devait blablater entre chaque pile et du coup ralentir la coutumière rapidité de Carlos.

    Je me barre avec 18t d’emballages métalliques pliés à 10h30 et y a plus qu’à rouler, c’est bon ça.

    On y va par le Bussang avec un arrêt de l’autre côté, à Ramonchamp à la grosse boulangerie où c’est fastoche de garer le long de la 66, donc on s’arrête pour la facilité mais pas que vu d’autres boulangeries ont été fermées.. J’embarque un pâté et me sauve.

    Je m’arrête le déguster avec une salade de tomates au niveau de Thaon. Ça va, le pâté n’est pas cramé.. Tiens, ça fait bien un mois que je n’en avais pas mangé. Ah ben oui, les vacances. C’est pas vraiment la spécialité des Pyrénées ou des Landes.

    Je fais un petit 30’, surtout ne pas atteindre les 45.

    Faut juste résister pour faire la sieste plus loin, en 3à’ encore, à l’aire du Barrois.

    La 4 roule bien cet aprème, hormis un bouchon, mais dans le sens inverse seulement au niveau des travaux à Sancy.

    N36 et 104, il est 18 h passé, tout vert dans mon sens, impec, on est vite sur l’A10, que du bonheur. Je me paye l’autoroute jusque Chartres, et après c’est N23 obligatoire pour rejoindre ma destination. Vu l’ heure, c’est assez cool pour passer Chartres, mais le peu de caisseux qui passent par là oublient tous leurs clignotant sur les rond points et c’est tuant.

    Pas grave, je retrouve vite la tranquillité  de la 23 et stoppe avec 9h51 au 1er relais, la Moricerie, quelques kms après Chartres. Il est 19h35, on va aller voir ce resto que je ne connais pas.

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  • le programme du jour en une image
    l'emballage, maillon essentiel
    la célèbre tirelire de St Arnoult
    avec les ploucs à Nancy
    der F12 strasse
  • Vendredi 25 Aout 2017
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    Je quitte ce bon relais situé en plein Beauce à 7h. J’attendais un peu et j’aurais eu droit à faire une belle photo avec lever du soleil d’ambiance Castillane. C’est marrant, ce resto très ancien, a des sanitaires rappelant ceux de la Brujula ou ailleurs en Espagne, faïences bleues claires jusqu’au plafond, et portes en faux bois massif. Et le reste est très bien aussi, c’est un papy et une mamy qui tiennent, donc bouffe maison garantie. En plus tombé sur un voisin de table normand bien sympa, qui était dans la restauration dans la passé reconverti à la route. Il est en frigo et monte sur l’est tous les week end, Epinal, St Dié, Strasbourg..   Il m’a montré une photo d’un resto en redescendant le col de Saales, c’est « chez Julien » à Devant Fouday, un superbe établissement, typiquement alsacien. Quand je lui ai dit avoir déjà mangé là à mes début, il ne savait pas qu’ à l’époque ce resto faisait un peu ouvrier et routier en plus du chichi.

    Elle va bien cette RN23, juste une heure pour arriver au Theil, pas dur à trouver, énorme usine qui fait de l’emboutissage. Je l’ai déjà fait mais y a bien 10 ans, quand je faisais un petit tour de natio que de temps en temps. C’est bien, car je vois aussi l’usine où je vais recharger, qui est située juste de l’autre côté de la voie ferrée. C’est d’avoir son programme du jour qui rentre sur une seule photo. Ça fera économiser un peu d’octets au site pour et par les routiers.

    Y du monde qui vide des emballages, déjà devant et à quai, mais les miens sont urgents, alors on me suggère de me les vider par un côté. Pas de soucis. Et en effet, des caristes et même un chariot et remorques embarquent les piles. Vide à 8h50, je fais au moins 2 kms à vide pour arriver dans une non moins grosse usine. J’avais rdv à 10h. Je rentre de suite, ai un quai assez vite, mais le cariste me dit que j’ai le temps. J’ai donc le temps de préparer 2 sangles attachées aux derniers poteaux pour éviter d’utiliser les barres d’arrimage. Il commence à 10h, mais ça trace, 4 pal par 4 pal, c’est du papier toilette. Résultat, 8t et des brouettes, et les 2 cliquets attachés entre eux pour retenir les dernières rangées. C’est vrai que des barres d’arrimage ça abîme souvent car les palettes reculent et se frottent dessus. Enfin c’est la finalité même de cette marchandise, frotter...

    Je me sauve à 10h30, remontée par la 23, tranquille. C’est dommage, un peu tôt pour refaire une halte pour le repas de midi au relais de hier soir.

    Natio jusque Ablis où la flotte commence à se pointer. Il commence à avoir du peuple au péage de St Arnoult, mais tout va bien, les caravaneux bataves n’ont pas le telepass.

    La 104 ne passe pas trop mal à part 2 3 grumeaux vers Evry et l’A6. 

    Une fois de l’autre côté, c’est carrément le déluge. Je fais une pause repas vite fait vers Fontenay Trésigny, sur un parking pourri de la N4 (pléonasme).

    La pluie ne baisse pas de régime, c’est rigolo, les détritus flottent sur le parking..

    Le sec revient une fois dans le département de la Marne. Pause 30’ à la Shell de Sommesous, là encore blindée des nordistes, belges ou anglais qui remontent via l’A26. Y a même du stau aux machines à café.

    Dernière ligne droite, enfin, pas dans la fluidité complète, méga bouchon avant Nancy, et j’ai zappé de sortir à Velaine pour contourner le truc, on voit défiler les Foulon, Brignais, MGE à côté, moi je suis un peu en mode touriste quoi, avec les pecos. Peu importe, je suis pas pressé, et pas au fond du trou, ce doit être le 1er grain de sable de la semaine. Si j’ai paumé 30’, c’est déjà pas mal. Et les copains bouchonnent plus loin aussi, à un carrefour avant de remonter sur l’A31.   

    Le reste de Nancy passe au vert. Coup de fil de ma chérie sur Epinal, si je peux passer prendre la petite a centre équestre. Je ne suis pas lourd, donc pas de souci.

    C’est à Dommartin, bled à côté de Remiremont, ça fait drôle d’emprunter la route de chèvres du F12 avec le Fh.

    De là, en 20 ‘ on se pause à notre bled à 20h30. 

    Voilà, déjà une semaine de faite, rien vu passer.

     

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  • 3 + 9 ....
    Super U liner
    Clerval
    N83
    on dort au client
  • Lundi 28 Aout 2017
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    J’aurais pu commencer cette semaine par une grasse mat, vu que j’ai rdv qu’à 13h à Mulhouse pour vider le papier toilette, mais optimisation oblige, je me suis réveillé en sursaut en ayant penser à aller déplacer un peu le camion en vue d’un casage d’une pause de 3h.

    En fait, déplacé à 8h20, de 10 bornes quand même pour retrouver mon père à Cornimont qui avait besoin d’un coup de main pour mettre en route une bagnole.

    Bon, il n’avait pas l’air de comprendre qu’après il fallait absolument que je ne reparte pas avant 11h35. Il n’a pas connu ça, le 3+9=11 ... En à peine plus de 10 ans, le métier a encore sacrément évolué. Faut dire qu’en 2006, une nuit pour lui, c’était encore 8h.

    Je décolle aux 3h passées, pas trop de temps à perdre non plus, mais par Oderen, ça passe large. J’arrive à la base U à Dornach à 12h50 en obtenant le quai dés l’interphone de la barrière. Impec. En donnant un coup de main au réceptionnaire, c’est vide à 13h20. La suite c’est Vieux Thann et Mulhouse pour commencer en Rhône Alpes. L’ordre voudrait que j’aille d’abord à Vieux Thann, mais d’après Pascale ils pourront me charger par le côté, j’étais pas certain. 

    Alors l’usine d’abord, après un passage à l’affrétement pour le bon et un Poulaillon au distri,  direction le 4C1, pas trop foule ce début d’aprème. Y a 2 emplacements assez éloignés, mais ils sont bien décidés, le cariste ramène une partie des emballages, alors une seule place. Même pas 1h, un record, avec déjà un bout pour le 01, je file sur Vieux Thann. Un bail que je ne suis pas venu ici. C’est marrant, les années se suivent et se ressemblent, je me souviens que l’an passé à cette époque je venais tout le temps ici pour du 01, 26. Aujourd’hui c’est du 84, ça promènera tient. Ça va, ils peuvent me charger par le côté, de plus Pascale les avait prévenu. Mais on sent que ça ne les arrange pas, c’est vrai qu’il y a un bout à faire pour ramener les 11 palettes. Alors j’y passe presque une heure quand même. Peu importe, je commence dans le 01 demain matin, y a pas le feux. 

    En repartant, à 16h30 passé, la chaleur est suffocante, mais un peu plus loin, vers le Pont d’Aspach, ça se met à tomber des averses d’orage, le thermomètre retombe quelques instants à 25, mais peu de temps.

    Comme y a du rouge à Voujeaucourt, sur la RN, sorties du boulot oblige, je sors de l’A36 à l’Isle sur le Doubs Clerval et retrouve la 83. Avec 5t et quelques, c’est jouable.

    On découvre au fil des heures de la journée la grille de rentrée de la radio. Peu de changement, à part l’émission de De Caunes, c’est aussi bien que le classique d’avant. J’aimais bien le classique l’aprème, mais à l’époque de Fréderic Lodéon, c’était toujours à la bonne franquette et à l’aise les histoires qu’il nous racontait.   

    Je fais 30’ de sieste, juste avant Baumes les Dames, à l’ombre. Il est bien 18h, mais le lundi, peu importe l’ heure, la sieste est obligatoire.

    Bien reposé j’enquille la route de Nancray via Pont de Moulin, avec le pont à Baumes les Dames rénové, c’est parfait.

    Qu’est qu’on est bien sur la 83, un peu plus on se croit partir en vacances, le vignoble, le Jura, c’est chouette.

    Je chope la N84 après avoir contourner Bourg par l’A40, et reprend l’A42 à Méximieux pour arriver tranquille à Miribel, à la sortie Beynost, au péage. Le fournisseur n’est pas loin, on contourne l’usine, et il y a toujours la place devant le portail, et éclairée. Ça affiche ouverture à 7h30, mon horloge affiche 22h15, parfait tout ça, hormis que le thermomètre affiche 27 degrés..

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  • N7
    langsam
    goûter fraicheur
    la frontera
    direction là haut
  • Mardi 29 Aout 2017
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    Y a encore fallu mettre le basto cette nuit, mais celui d’été, c’était vraiment impossible de dormir sinon.

    A peine réveillé, un peu avant 7h, le portail est déjà ouvert, et un camion du 25 rentre. Peu importe. Je déjeune tranquille et rentre à 7h30. Je trouve le quai de réception, mais un gars me dit déjà que ce n’est qu’à 8h, et que le 25, un Jacquet, est prioritaire. Ok.

    C’est bien ce qu’il me semblait que c’était jamais du rapide le matin ici, je l’ai déjà fait y a quelques années et c’était le même topo, même prioritaire. 

    Finalement mon tour vient vite, car je lis les riches aventures d’un monsieur qui livre des piscines, donc on perd toute notion du temps. Je suis vide à 8h50, direction Lyon où la rocade est n’a pas l’air vilaine. Ça passe tout bien, alors je m’offre une douche, à Roussillon, chez nous, les truckers, 20’ pas plus.

    C’est bien, l’A7, à la fin de l’été. Je n’ai pas eu la joie de la pratiquer de tout l’été dans le cadre du travail pendant les migrations nord sud. Enfin, si, mais en tant que migrants, en mode caisseux, et un dimanche. On avait notre petite nièce qui était un peu patraque pendant le trajet, à un moment il a fallut s’arrêter à presque toutes les stations et c’était galère pour se garer, alors je me posais aux pompes pl...le vrai caisseux quoi !

    C’est encore un peu les vacances, alors je sors à Montélimar sud pour faire un bout de N7, parce qu’il n’y a pas que la N4 dans la vie. 

    C’était bien la peine, pas vu une boulangerie jusque Piolenc.

    A7 jusque Avignon nord, direction Carpentras, et ouf, je trouve enfin une boulangerie, Escoffier, ça change de Marie Blachère. De là, je suis quasi arrivé à Monteux, chez le client.

    Il est 12h45, ça reprend qu’à 13, mais je peux me mettre à quai quand même.

    Pendant que d’autres finissent leur pause, j’attaque de mon côté, le Boulot, nom du pain acheté de tout à l’ heure.

    Vide à 13h25, je file pas très loin de là au Pontet, sur la N7, dans une cartonnerie. C’est pour du 44, un beau voyage, mais la cour est pleine. C’est de la bobine de carton. Ça cogne, des gars attendent dans leur cabine moteur tournant. 

    Un gars arrivé derrière, du 59, a un problème avec son tendeur de bâche, c’est pas sa semi attitrée, c’est une goupille du cliquet qui est cassé, un autre lui trouve une pointe, j’essaies de tendre avec une douille, finalement le bout de goupille repoussé un peu, permet au système de fonctionner un peu. 

    Je discute avec un voisin, de chez Combronde, qui est en location pour ces papeteries, il connaît où je vais à Clisson, d’après lui c’est 15h maxi là bas. Et il compte bien 12h 12h30 de route via St Etienne Montluçon RCEA. Bref, c’est mal barré pour vider demain, car l’ heure tourne. Le collègue du tendeur vient me revoir, me demande si il faut des équerres, je pense que oui, car c’est de la bobine debout. Le mieux c’est qu’il aille demander. Et oui, il en faut, et il n’en a pas, c’est pas sa semi.. Bon, je regarde dans mes coffres, j’arrive à en réunir une vingtaine en carton, ça vaut rien, j’en retrouverai et  j’ai déjà mes bleues en plastiques, ça le dépannera. 

    Bon ça n’avance pas vite, mon tour vient alors que l’horloge de l’odb affiche 2h53 de pause...

    C’est des bobines assez petites, alors il y en a plus, 20. Donc pas du rapide. Et il ne faut pas sangler pendant le chargement..

    J’en sors à 17h45, sangle assez vite, c’est fastoche, vu que le chargement n’est pas haut, je monte dessus pour tout passer et poser.

    Je me sauve à 18h10. je n’ai pas de nouvelles de Pascale, je monte, on verra bien. J’ai prévenu que je ne serais jamais là bas avant 15h.

    Je retrouve des mirabelles dans un tuperware dans le frigo, j’y pensais plus, ça fait un bon goûter frais.

    J’enquille l’A7 à Orange sud sans trop être encore décidé de l’itinéraire. St Etienne ou le Puy ?

    A Montélimar sud, aller je sors et enquille la 102. J’avais remarqué ce matin à Pierrelatte que Viviers était interdit aux pl pour travaux. 

    On verra bien, c’est sûr que sur la 102, la moyenne n’est pas terrible sur les 1er kms, le Teil....

    Enfin, c’est pas comme si je n’avais pas l’habitude, la N104, j’en perds aussi du temps. Mais là bas les villages et paysages sont moins jolis..

    C’est quand même du bonheur d’arriver à Aubenas, la chaîne de montagnes derrière est impressionnante. Ça se vérifie plus tard dans la montée de la Chavade. 1ere fois que je passe par là en bien lourd. Et ben c’est long, la fin n’en fini pas.On les sent passer les 127m d'altitude supplémentaires par rapport à notre Schlucht. J’embête personne et personne ne m’embête, je crois un peu de bretons ou des 85 et 79.  

    En arrivant en haut, j’ai un message que l’ huile de boite est chaude. Message rare, 1ere fois que ça m’arrive. Enfin non, ça m’était arrivé mais sur l’ancien tracteur, en boite manuelle, c’était  à Aoste en arrivant du Grd St Bernard en assez lourd.

    Je surveille en haut, ça redescend mais très lentement, alors je roule cool sur le plateau, un peu d’I-roll, ça repose un peu la mécanique.

    C’est bien dans ce sens là, direction Clermont, on prend la tangenziale du Puy sans avoir l’impression de perdre du temps.

    Par contre, il n’y a déjà plus de lumière au Cocher, il est 21h45, ils doivent être déjà tous partis se cocher. Enfin je comptais rouler plus loin quand même, pousser au taquet.

    Encore le col de Fix St Geneys à se taper, la route est droite, mais la pente est raide, et quelque soit le côté. Je m’amuse à surveiller la température de l’  huile de bv, et elle a tendance à monter aussi dans la redescente, en étant en 9 ou 10e, VEB au taquet.

    Je passe Brioude et arrive à un parking géant, genre no man’s land juste à l’accès de l’A75.

    Il y a l’air d’avoir un resto à côté d’une station Total. On verra ça demain matin.

    Il est 22h40, l’amplitude a un peu morflé. Je vais sortir un ticket et marqué que c’est à cause d’un célèbre restaurant du Puy qui était fermé, point.

  • Photos
  • y a de l'espace dans le 43
    A75, c'est chouette
    les clients de la rcea
    15h55
    stau à Nantes
  • Mercredi 30 Aout 2017
  •  

    Bien dormi dans le noir, et la jauge est comme hier soir, qui était déjà basse.

    Je vais voir à la station, et il y a bien un bar, et même des douches, impec. Douche propre et spacieuse, oui, mais pas d’eau chaude. Pas grave, il suffit de se remémorer l’attente sous le cagnard de hier, et on sait apprécier.

     Je déjeune ici aussi, et suis presque encore en avance, alors j’ai le temps de faire le pare brise comme il faut. Ça fait moins mal après quand on regarde les photos prises en route.

    Décollage à 7h45, il se met déjà à flotter sur Clermont. Ça ne fera pas de mal. 

    Sortie à Montluçon, aux Vérités, pour mettre un peu de gazole.

    Pascale me sonne, à Clisson, ils m’attendront jusque 16h30. Je pense y arriver vers 16h.

    Enfin peu importe, je ne rechargerai pas aujourd’hui, vu que c’est avant 16h à Nantes.

    Un coup de RCEA, ça ne fait jamais de mal, on peut mitrailler un peu de Portugais ou Galiciens que j’affectionne. 

    Je quitte cet axe à Bellac pour grimper direction Poitiers. Les 4h30 sonnent bien après Lussac.

    Juste avant de m’arrêter, il m’a semblé que je suivais le Combronde qui m’avait donné des infos diverses  hier. Il montait sur Mortagne dans le 85. Il était bien pari 2h avant moi, il a peut être fait 11h cette nuit.    

    Je ne m’éternise pas dans le repas, 30’ sieste comprise.

    A la radio, presque dans les grands titres, ça cause de l’Alsace, Dannemarie, où la municipalité a érigé des silhouettes de corps féminin, faute de goût sans doute, il y a lever de bouclier des féministes. Peu importe, mais c’est marrant, dans ce bled, au moment des fêtes, l’hôtel de ville a ses tours de fenêtres qui s’illuminent de diverses couleurs, alternant rose, violet, façon eros center ou club... là encore, je ne juge pas, mais le goût peu paraître discutable.. 

    Le dernier bout de route trace bien, Parthenay, Bressuire, Cholet, de la belle 2x2. Je cale à 82, histoire de rattraper un peu le pic de consommation de hier soir.

    Je sors bien comme m’a dit le Combronde, une petite route qui passe à la Romagne et rejoint Clisson, et on arrive à la cartonnerie. Vu le type de bobine que je chargeais, il m’avait déjà donné le n° de quai à suivre, et à ne pas louper, car sinon c’est un tour de l’usine gratuit. Bon la rue qui va au quai en question est en travaux, donc tour  dans l’autre sens et tombe quand même dessus. Le cariste est bien là, et m’attend bien. Il est 15h55. Il est cool, je peux rentrer dans la semi entre chaque bobine pour enlever les équerres. C’est un gars de la prod, le cariste de la réception s’en va à 16h. En théorie c’est 15h30 dernier carat pour arriver. 

    En recalculant, j’aurai mis 11h45 de volant, y a pas, ça coupe quand même via le Puy.

    Je repars à peine 45’ plus tard, direction Nantes. Passage à Gefco à Ste Luce sur Loire pour emprunter des europes, je suis dans le bon sens sur la sortie de Nantes. Faut juste que je googelise pour retrouver l’agence, c’est plus compliqué à trouver que celle de Mulhouse qui a quasiment une sortie d’autoroute dédiée.

    A peine 10’ récépissé compris, je repars vers le ring sud Nantais, dans le mauvais sens cette fois. Direction porte de Bouguenais, sous le pont de Cheviré, vers où je recharge demain matin. Ça merdoie 15 20’, j’arrive à me poser tout près, au resto de la Ferme.  

  • Photos
  • Chevire Bridge Sunrise
    le Layon c'est bon
    le Chablis aussi
    17h
    Burgundy Sunset
  • Jeudi 31 Aout 2017
  •  

    On est content quand on revient en entier de ce resto au camion, il faut traverser le boulevard qui rentre vers Nantes et les gens roulent à fond. Enfin, après un bon pain beurre demi sel, on a la forme. 

    Mis en route à 7h30 pour faire les 3 ou 4kms qui mène à la zp, ça ouvre à 8h, et déjà plein de camions qui attendent, des bennes surtout. J’ai le temps de faire 2 3 photos sous le pont, avec un lever de soleil que je vais louper à 5’ près.

    J’aurais pu attendre pour the photo, car au bureau, déjà un bâché est devant moi. C’est des palettes de sucres de cannes en sacs. Ça charge à quai.

    Mon camion est attaqué qu’ à 9h, et le cariste me propose de prendre un tir pal, bonne idée. J’en repars à 9h40 avec 24t à destination du vignoble de Chablis. J’ai un 06 pour voir les horaires de livraison, pour une éventuelle foulée. Y a en gros 500 bornes, en faisant un mix de natio et autoroute, je table sur 7h de volant. Le gars au tel me dit qu’il faut que j’arrive à 17h30 dernier carat. Je pense que c’est jouable. Et ça arrangerait pascale qui a un retour en rp demain. C’est bien quand une foulée de 500 bornes se joue, ça met un peu d’action.

    Je pars via Cholet, Doué la Fontaine et A85 à Saumur. C’est joli, à chaque bled, il y a un rond point thématique. Et le vignoble du Layon.  Après, je sais pas si ça va plus vite ou non que par Angers et Château Renault.

    Ça roule quand même, j’arrive à la station au niveau de Meung /Loire en moins de 4h15. Pause 30’, stratégiquement préparée ce matin. Cassage de graine en vitesse encore une fois.

    Et faut pas que ça loupe, Pascale m’a trouvé un 89 78 à charger jusque 21h. Parfait, trop forte cette exploitante.  

    J’abandonne l’autoroute à Orléans et garde la N60, Montargis Courtenay et A6, pas le moment de se faire suer à travers via Chateau Renard depuis Amilly.

    J’arrive dans le beau vignoble du Chablis à 17h pile. Finalement ça aura pris 6h50 de volant. Un porteur est en place, je prends la suite, vidage par les 2 côtés.

    C’est un magasin de matos pour les métiers de la vigne. 

    Vide à 18h, il n’a pas les palettes à me rendre, alors on le note partout.

    Je file sur Auxerre pour le rechargement, Moneteau exactement. C’est une boîte à ferrailles, enfin qui fait du produit fini plutôt, de l’agencement. 

    J’ai le quai presque tout de suite, mais ça ne bouge pas immédiatement. Je ne sais pas où je vais atterrir ce soir, j’étudie l’itinéraire de ce périple qui m’attend. C’est du 78 le Peray en Yvelines, Rambouillet quoi. Après vérification je trouve kifkif en kil par N6 104 118 N12 N10 que par à travers, Montargis Pithiviers Ablis N10. Je vais faire comme ça, par les routes de chèvre de la Beauce. Et comme ça pas trop de question à se poser pour où je dormirai ce soir, ce sera plus simple qu’en bordure de 104. Surtout que ça n’a pas l’air bien lourd. Il y a 5 magasins, mais je pose tout chez un transporteur. C’est assez long, j’en repars à 20h20, mais 7t seulement. A6 jusque la sortie Joigny, et passe à cette fois ci à travers via Château Renard Amilly. De nuit en léger, ça trace. Après Montargis, je passe l’ancienne route, St Maurice sur Fessard et son bon relais, où c’est dommage, il y a encore de la place, mais je préfère finir mes heures. Je pousse jusque Pithiviers, dans une petite ZI éclairée à 22h30. Pas un chat, mais des lapins. Il manque juste les épices chef !