FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2018 Partager sur Facebook
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  • Peter seventy sunrise
    los reboques
    Geoffrey maschine
    mon mari ce héros
  • Vendredi 13 Juillet 2018
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    Méga coupure longue mais méga nuit courte. J’étais sagement à table à 20h30, que Stéphane, un copain du lycée St Michel de Bosserville, fils de transporteur frigorifique vosgien à l’époque arrive. Bien 3 ans que je l’ai pas vu, même si on s’appelle des fois, ça fait plaisir. On passe au digestif mentholé qu’un autre copain arrive, Pierre, du lycée FDR de St Péray, livreur de piscines chez les ibères de son état. Zut, on aurait pu manger ensemble à 1h près. On a repris un digestif le temps que Pierre casse la graine, et on a tous pris un peu le frais ensuite. Bref, couché à 23h30.

    Donc décollage à 6h20 avec du mal ce matin, mais heureusement les quelques cafés partagés avec le camarade bordiste juste avant, réveillent un peu, surtout qu’on a causé de nos vacances à venir.

    Je dois filer à Audincourt charger, je passe par le haut Nancray, à vide c’est parfait. J’avais rdv à 8h avec le comptable dans le 68, c’est mort. En bon maniaque des chiffres, mon prestataire a bien compris que je n’allais pas monter à Thann pour redescendre ensuite à Audincourt. Rdv reporté à 10h. ça charge vite à Audincourt, une bonne demi heure pour poser 2 remorques d’atelier, bien calées et tout, et moins scabreux que la dernière fois ici.

    Je file donc à Vieux Thann, décroche à Cernay, pour ne pas faire riper du pneu devant le cabinet, c’est un coup à se faire tirer les oreilles à propos du poste pneumatiques. Le bulletin de notes remis avec le café, je repars de là à 11h30, faut aller compléter à Mulhouse. Avant d’entrer dans l’usine, au badge, je vois Geoffrey de Saulxures, un voisin italiner, avec son beau R.

    4C1, y a pas foule, c’est appréciable, encore plus un vendredi. Enfin je suis vite en place, avant le changement d’équipe, histoire de préparer le terrain pour l’équipe suivante, bref j’en ressors à 14h passé. Petite montée nord, ça change un peu. Donc retour par les Vosges pour l’ensemble. Un peu de gazole à Illzach en passant puis retour via le Bussang, par 30 degrés, les pneus n’aiment pas de trop les épingles du Oderen.

    Pour reculer à Cornimont, pas de soucis, 16h, c’est encore pas l’heure de pointe. Pascal est déjà sur la fosse pour la vidange. Une Twingo jaune est là, c’est mon femme club qui immortalise mon héroïque manœuvre.

    Je dételle pour bricoler un peu demain matin. On fini la vidange du Magnum, il est 19h passé.

    Week end de fête national et/ou de finale en vue. On est le 13 Juillet, petite pensée sur un quart de siècle en arrière, à cette heure-ci, le permis en poche du matin on décollait avec papa du Pont d’Aspach direction Madrid en R340. Le truc que j’oublierai jamais. Et je ne suis pas fan de foot, mais je me souviens aussi que le 12 juillet 1998 au soir, parmi les voitures qui klaxonnaient, j’étais au volant d’un AE385 cette fois, mais toujours direction Madrid !

    Voilà, beaucoup de nostalgie, mais dans 3 semaines c’est vacances !