Carnet de bord de Janvier 2018 | Partager sur Facebook |
4h, -1 degré, on resterait bien au lit parfois. Et pourtant ça pourrait être bien plus tôt et bien plus froid.
Enfin, y a déjà du monde qui descend de la vallée. Et puis j’enclenche le siège chauffant, ça aide. Bref, avec des batteries neuves on s'autorise tout c’est la fête du slip, dans les 2 sens du terme. Pas trop de pression, j'ai annoncé 14h30 à Caen, ça fait moins tôt que 9h30.
N4 pour la 2ème fois cette année, le quota va deja être bientôt atteint. Mais ça roule bien, même Vitry. Arrêt gazole à la Access des Gravières. Toujours dur aussi le 1er plein du lundi matin aux aurores en hiver. Et ici, meme avec 500l achetés, faut payer le café. 20’ maxi, j'achève la période jusque Vaudoy près du gge Merco. 25’ de sieste, failli faire beaucoup plus car erreur de manip du réveil de mon téléphone, j'avais reglé 9h25, mais sur samedi. Un paquet de biscuits aux céréales et c’est reparti. Paris, on va passer par le grand sud, ce n’est pas trop rouge par ailleurs, mais totalement vert par la 104. Juste un bon coup de frein en haut de la 118 pour rattraper la 104.
La météo devient normande en avançant.
Pascale qui a repris le boulot est en forme, elle me demande si je pourrais recharger le Caen de 20h ce soir. Niet, en partant à 4h, et en surtout en 2017, ça classe l'affaire assez rapidement. Si on avait pu le savoir vendredi, ça aurait pu se faire. Et encore, j'ai un autre client en emballages à faire plus bas à Condé sur Noireau, en plus d'un autre magasin dans l'usine caennaise.
Ça roule bien, mais je stoppe quand même a la dernière aire de l’A13, Giberville, pour casser la graine.
J’y arrive à 14h30 pile, rentre de suite. Mais les 2 quais sont pris, + un Bernardo Marques qui attend. Ça va pas vite. Je suis à quai quand même a 15h, mais c'est long. Quand il attaque le 1er bac de forge de ma semi, la sonnette retenti. Le cariste stoppe net son fen, c’est la pause.
Je me souviens avoir eu absolument le même coup avec le même cariste un lundi, alors qu'il était du matin. Je sais pas pourquoi mais c'est vraiment énervant le fait de le voir attaquer bien décidé, et de s'arrêter net après le 1er bac. Bref. Pascale revient aux nouvelles, on fera bien le Caen de ce soir, mais que je chargerai quand je pourrai, donc demain. Oui pas trop le choix. Vide la forge à 16h30, j'ai encore 2 malheureuses piles d’emballages pour l'autre bout de l'usine, à l’entrée. Presque une demi heure. Pas trop décidés les normands aujourd'hui. Je me sauve à 17h, direction Condé sur Noireau, voir si ça veut encore vider. C’est la route de Flers, ça roule pas à fond les gamelles, en cause c’est joli, c'est un vers a Suisse Normande. J’y arrive à quasi 18h, cour ouverte, des bruits de presse, mais bungalows bureaux éteints. Je vois un cariste qui ne me calcule pas, mais qui appelle quand même un de ses collègues. Ben non, c'est demain, 7h30 me dit sèchement son collègue. Ils arrêtent à 15h..
On n’est pas censé deviner. Bon, je peux dormir devant, sur un genre de rond point cul de sac qui fait parking, et éclairé. La coupure va être bonne.