FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2017 Partager sur Facebook
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  • les vaches de St Etienne du Rouvray
    rapide la matin
    le soir aussi
    5h30
  • Mercredi 17 Mai 2017
  •  

    Une 11 heures validée, je ne perds pas de temps et file à la papet où je suis en bascule à 6h50.

    Visiblement il y a déjà du monde, ça rentre ça sort. Peu importe j'ai tout de suite un quai, et il faut peu de temps pour poser les 9 bobines.

    Pas de sangle, rien je repars à 7h30. Il y a du bon quand même dans le national surtout pour un voyage régional. Je file vider dans la foulée à Caen, juste en face de où je rechargerai ce soir. C'est chez Transport Vire, pareil, ça vide assez vite, par les côtés cette fois ci.

    Vide à 9h50, je file me mettre en coupure au CR tout proche. 

    J'adore quand un plan se déroule sans accroc hormis qu'il va faire chaud.

    La coupure de 9h s'est déroulée en deux phases, d'abord du très chaud puis de la très grosse pluie. J'ai bien essayé de dormir avec la clim à 22, ce sera la première utilisation cette année, mais avec le bruit des grosses gouttes ce fut moins évident.

    Après une douche et un café, je remets en route à 19h10 et file à l'usine Citroën. C'est prévu 20h30 comme à chaque fois, mais le gars de la réception du jour me déroule presque le tapis rouge et me fait déjà rentrer dans l'usine.

    Ouverture des 2 côtés, ça ne traîne guère à charger les 23t de pivots, 20h15 je repars, avec la grosse pluie toujours, direction Mulhouse, toujours également.

    Je cherche pas je prends l'A13 direct. Si j'ai dû dormir 9' sur 9h c'est après-midi, je suis quand même motivé car le but de cette nuit c'est la maison. C'est marrant, ça dit plus que dans le sens inverse.

    Paris, il faut traversé par le périf nord, dommage, car la vue y est moins bonne pour photographier la tour Eiffel qui clignote. Et de plus, c'est plus long et blindé de monde. Une fois l'obscure N4 retrouvée, c'est plus calme, encore que. Les 4h15 sonnant, je me pose sur une bande d'accotement bien large juste avant Sancy.

    Je roupille quelques minutes les pieds sur le tableau de bord mais en flippant un petit peu, ça secoue bien. Et la flotte normande m'a rattrapé ou m'a suivi plutôt.

    40 minutes et un café plus tard je repars pour tenter de rentrer d'une traite. Ça fait penser au dimanche soir mais à l'envers. Les gens sur cette route la nuit sont encore plus pressé que le jour, et avec mes pneus retaillés qui ont beau être auvergnats, je n'ai pas de gagner en km/h.

    Alors je cale à 84 et ceux qui veulent doubler doublent à l'aise.

    En arrivant en Lorraine, on retrouve un ciel clair, on aperçoit même des étoiles filantes c'est de saison et c'est beau. 

    Ça va tout bien au niveau de la forme sauf en arrivant dans ma vallée où là c'est la lutte finale.

    Il va faire jour c'est le moment le plus traitre.

    Je me pose tant bien que mal dans mon bled à 5h25, je pourrais attendre un peu et assister au lever du soleil, mais là c'est plus sage de filer au lit.