FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2017 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Oderen à la fraîche
    by Tibo
    Oderen avant la sieste
    autant utiliser le matériel qui dort
    60, tranquille
  • Lundi 17 Juillet 2017
  •  

    Départ tranquille à 7h45 de Cornimont. Peu importe l’heure, la sortie se fait en marche avant, donc sans stress. Et je suis vide, donc descente tranquille via Oderen sur Mulhouse. Du fret m’attend là bas, comme prévu jeudi. La vallée de Thann est bien verte, tout comme la zone de travaux mulhousiens.

    Je vais déjà au gazole et adblue à Illzach, ce sera fait.

    Passage à l’affrètement, pour la suite des opérations. Pascale est revenue. Je papote vacances avec un chauffeur de Vendeuvre sur Barse, Dominique, qui vient ici tous les jours, et que je vois de temps en temps. Il me dit que c’est ses dernières vacances avant les grandes l’an prochain. Je lui dis à bon, t’as 57, 58 ans?  62, me répond t’il. Ah la boulette, mais dans le bon sens, il ne les fait pas en tous cas. Et surtout il est sympa. Il décroche raccroche tous les jours une semi arrivant de rp juste en face du dépôt Gamba.

    J’ai le boulot, une bobine dans l’usine, et une autre bricole, et du papier à quai, avec 2 palettes euro justement caler pour la bricole, un moteur sur un présentoir à roulettes. Le tout pour un tiercé comme je l’aime, 77, 94 et 92.

    Je commence donc par le quai pour coller le papier aux fesses de la semi. Ça va vite, mais c’est l’horaire où se pointe le père Tibo qui vient de vider dans l’usine et qui vient quémander du fret, donc enfin pour une fois on passe à la machine à café.

    Je rentre à l’usine vers 11h, là encore je vois un voisin bressaud, vu que c’est la pause, y a le temps de papoter encore un peu.

    Je vais au moteur en 1er, c’est près de la forge, je trouve tout de suite quelqu’un au courant, dingue. Juste ils n’ont pas de fen, on en trouve un en forge.  C’est pour la Garenne Colombes, j’ai comme adresse, le 3e étage... Auront ils un fen... Au pire, la rue des Caboeufs n’est plus si loin une fois là bas.  Ça va pile poil entre les palettes euro en long, 2 sangles là dessus, contre le tablier, ça ne devrait pas bouger.

    Je vais aux bobines, il est midi, pas un chat, on la pose tout devant, 15’, tout sanglé.

    Le papier se vide à rdv 9h30 demain à Combs la ville, il n’y a plus qu’à passer à la maison pour valider une 3h, comme j’aime bien. 

    Retour via Oderen, y a pas trop lourd, je pose les roues sur la place de mon bled à 14h.

    Ça va tondre un peu, comme ça c’est bien, ça m’aura éviter de l’avoir eu à faire ce dernier long week end, et d’être tranquille avec ça le prochain. C ‘est cool de faire de la rp finalement.

    Et ça me permet de faire de la place à la maison, au grenier, j’ai ressorti et dépoussiéré mon vieux guide atlas de l’Ile de France de marque Ponchet, acheté dans les années Sceta, et qui n’avait jamais dû suivre les déménagements depuis le Fh12 ex Transak, ayant à cette époque la prétention de ne pas souvent aller dans cette région, je ne jugeait plus utile, l’encombrement des coffres avec cet ouvrage. Je ne peux plus en dire autant aujourd’hui. Ne jamais rien jeter..

    Bref, je n’ai pas vu passer les 3h et dois repartir après une DGV (douche à grande vitesse) à 17h pétantes.

    Ça roule encore assez bien, Nancy, tout ça. La N4, ma foi, c’est la N4, où c’est toujours dur de mettre tout le monde d’accord. Des 3t5 polonais roulent bizarrement, un depuis Toul n’avance pas vite aux moindres faux plats, mais redouble dés qu’il peut. Et après Vitry, sur la 2 voies, un autre roule à 60, pas plus. Il fini pas se garer, il doit avoir un souci. 

    Je fais la pause à la sortie Vaudoy, sous le gge merco pour casser la graine.

    De là, en même pas 45’, je file à Réau, au cr pour me trouver de la place sans stresser. Il est 22h50, suis presque au 1er client.