FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2016 Partager sur Facebook
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  • Vitteaux
    je vais finir célèbre un jour
    il fait assez Mirebeau
    Rolling Saône
    Rambervillers dans le 88
  • Jeudi 19 Mai 2016
  •  

    6h50, je reprends la N6, et pas sur son plus moche tronçon. Vermenton....

     Mais je la quitte bien avant Saulieu, à gauche direction Dijon. Là encore, c’est super chouette, Vitteaux.. Bref, la Bourgogne quoi.

    Ça bouchonne bien à un rond point de la rocade nord de Dijon malgré l’heure tardive.

    Mais y a le temps, je ne recharge qu’à rv 13 h30 à Longvic. Avant je dois quand même alller vider à Mirebeau sur Bèze. Donc direction Vesoul.

    Mirebeau, c’est joli, l’itinéraire principal est déjà bien authentique. Mais là j’ai merdé, j’ai suivi direction ZI à gauche bêtement (y avait pas d’interdiction), pour me retrouver dans une rue assez étroite avec une intersection au fond... Y a fallu bien grimper en face sur le trottoir pour tourner le plus tard possible, sinon je rayais une vieille bâtisse avec le paf arrière..En gros, j’ai failli être de la Bèze...sans parler que j’ai cru voir venir la 3ème crevaison de ma série. Mais non. 

    Me voici sur l’axe arrivant de Vesoul que j’aurais pu me trouver plus simplement si j’avais fait autrement...

    Un Gefco arrive derrière au taquet, me colle jusque la ZI, et se gare à fond le temps que je repère la boîte. Je descends du camion qu’il va déjà vers la même boîte visiblement. Et en voyant le cariste, il lui précise quand même que je suis devant. Bon en annonçant le but de ma venue, la cariste dit au collègue de passer devant, il n’a que 4 5 piles d’emballages à prendre. Moi, faut peser, ouvrir les 2 côtés...bref, j’ai compris...Il est 10h.

    Plus d’une demi heure après, le collègue vesulien repart enfin. Sans me faire un petit signe. C’est pas grave. Je demande juste au cariste sil il était pas complet plutôt. Non, mais c’était 4 ou 5m de plancher en fait.    

    Bon je m’en fois, le cariste m’a l’air bien sympa quand même. Fait peser, l’accès de la bascule est un peu tordu, puis reculer dans la cour. Et ouverture des 2 côtés. La cour est à l’image du bled, c’est assez étroit, mais ça passe.

    Une bonne demi heure après, c’est refermé, je passe en bascule, 11 h15 je repars, no comment....

    Retour sur Dijon, via Arc sur Tille, où j’avais repéré une boulangerie avec moyen de garer facile.

    Puis je fais un arrêt juste avant l’accès d’autoroute chez le marchand de pièces PL, voir si ils n’auraient pas une boîte de vitesse SR62 d’occas. Niet. L’ancien patron de cette boîte est parti à la retraite y a 2 ans, on avait déjà bossé avec alors qu’il faisait du VO à l’époque, il nous a encore repris une semi y a bien 8 ans.

    Je continues mon chemin vers la capitale des ducs, mais pour aller à une des ses grosses zi, Longvic. Aux Groupages express de F.... plus exactement. En 17 ans de service pour cette maison, j’ai déjà pu fouler le sol d’agences comme Vigo, Trnava, ou même Gennevilliers, mais Dijon, c’est la toute 1ère fois. Comme quoi on en découvre toujours, même avec le poids de l’expérience.

    Je suis en avance, mais en fait, ce n’est pas pour charger, mais juste montrer la semi au niveau état du plancher et de la bâche avant d’aller charger dans une boîte tout juste voisine. Bon la propreté extérieure ne rentre pas en compte, heureusement. Et puis la petite dame de l’affrètement qui se charge de cette tâche doit bien sans taper de la propreté extérieure, ce qu’elle veut juste, c’est que je tienne bien l’échelle... «  Ah vous avez une échelle, un balais... » Bref, bien sympa.

    Je file en face, bien en avance, et c’est en fait pas dans l’usine, mais au dépôt transalliance voisin. Il est midi trente, pas de souci, j’ai un quai, impec. Faut ramener la clé au bureau. Je suis un petit malin, je garde la télécommande pour pouvoir retourner au camion au cas où que ça traîne, car j’ai faim. La dame du bureau me dit qu’en fait ça chargera pas tout de suite car problème informatique, et pas possible de rentrer en com avec l’usine en face cause pause de midi. Bon ben je retourne au camion pour commencer à casser la gueule à la tradition acheté plus tôt.

    13h, le concombre tout juste épluché, j’entends gueuler tout fort à l’arrière, c’est le cariste qui me cherche. Whaouf,  pas de soucis, j’arrive...Bon ça va vite, 26 pal en 13 coup de trans pal. 13h30, papiers finis, je sors sur la belle place en face à l’extérieur pour achever de me restaurer. 

    13h50, direction le nord 67. Je vais passer par les Vosges, c’est le plus court, le plus gratuit, et je suis léger. 

    Mirebeau à nouveau, sans rien casser encore. Gray, où il y a des affiches pour le festival Rolling Saône. 

    Puis Gy Vesoul.

    A Remiremont, je suis vraiment pas à la bourre, et léger, j’ai  hésité à faire le crochet pour couper à la maison. Mais je laisse tomber, il y a un truc important à régler, c’est aller rappareiller mon jumelage arrière à Chavelot, suite au dépannage de Caen de la semaine passée. 4 conti au lieu de 3 conti + 1 michelin, c’est mieux.

    17h30 c’est classé. Route via Rambervillers, dont le contournement est fermé, mais le centre est joli et passe très bien, Baccarat puis la vieille N4 à Domèvre.

    8h22 de volant pas plus, je stoppe à héming, le bled où il y a la cimenterie et un routier. 

    Il est 18h50. 521 bornes. Je suis fatigué de ne rien faire...