| Carnet de bord de Janvier 2017 | Partager sur Facebook |
5h je pars à jeun. Pas envie d’attendre la navette pour aller de l’autre côté, encore moins de traverser la N4 à pinces, c’est dangereux.
J’ai vu Nico72 hier soir, juste quand j’avais fini de manger.
Pour être à Rennes à 14h, il m’a conseillé de partir assez tôt mais pas trop. Ben oui, la capitale.
Alors je traîne un peu mais pas trop, 1ere pause douche et dej à Beauvais la Noue.
A peine si on peut se garer le matin tellement c’est blindé de la veille. Mais une douche dispo, alors 35’ TTC de pause.
N36, 619, A5b et 104, jusque là tout va bien, mais ça freine comme il faut au kreuz de l ‘A5a. Qu’est ce que je crois, il est 8h20. Mais on va s’en remettre quand même. Après ça trace jusque l’A10 où ça refreine aussi au croisement à cause de la direction N118. Enfin fini avec cette N chiant quatre.
L’autoroute, c’est bien, il n’y a plus personne, et la conso se casse la gueule. Juste que c’est aussi ennuyant, aussi chiant que cher.
J’ai les 4h25 juste à l’air au niveau de Brou. 30’ pas plus. Un tour au resto d’autoroute pour le pissou. Il y a un Starbucks, j’oublies pour m’offrir un café là dedans. Dans les 4,50€ le Latte machin. C’est là qu’on espère ne pas croiser un copain, ça ferait radin de lui offrir un Selecta de la machine à côté des toilettes.
Je laisse couler comme ça jusque le péage de la Gravelle. J’ai mon taf pour la suite, par mail de Pascale. Ça commence par « désolé, je n’ai rien trouvé de mieux ..» Bon voyons de plus près, c’est du 53 à 18h30 pour du 77. Non, ça me convient parfaitement. Ça aurait été du Mulhouse, la quatorzaine aurait encore plus morflé.. Bref, on va déjà aller déposer le coil à la Janais.
Je rentre dans l’usine à 13h20. On rentre comme ça, le portier demande juste si on connaît. Je n’ai jamais vidé à ce magasin, mais je le situe, c’est bien indiqué.
Je me gare au stop devant la porte et vais à pied à la réception. Personne au burlingue. Un camion belge(la semi..) est en place, un côté ouvert, attendant je ne sais quoi. Je retourne au camion pour dessangler.
Je retourne encore au bureau, rien ne bouge. Ah si, un autre camion rentre, à côté du belge.
Pas trop gêné quoi. Vu la forme du châssis, il a de la bobine aussi. Je vois le c hauffeur tout de suite et lui demande pourquoi il rentre tout de suite. Je suis habitué me répond il. A bon. Si un jour il va vider à Mulhouse, ou pire Sochaux, il lui faudra revoir ses habitudes...C’est bon, tu videras devant moi me dit il. Peu importe maintenant que t’es là..
Le pontier est en haut dans sa cage, mais toujours personne au bureau. Le belgo roumain qui s’impatiente, referme et décide de s’en aller, j’ai pas pigé ce qu’il attendait. Bon je prends la place, vu qu’on peut rentrer comme ça.
Il est 14h, le toit de la Schmitz est ouvert, et enfin le réceptionnaire arrive. Le collègue pressé est dans sa cabine, alors c’est bien mon tour. Je demande au réceptionnaire si on peut bien rentrer comme ça sans rien demander, il me confirme que oui. Incident clos, je saurai.
La bobine saisie, le pontier la sort et je me barre à 14h. ça aurait pu aller mieux mais c’est comme ça.
Je recharge sur Laval, y a 80 bornes. Je sonne Pascale pour lui demander cette histoire de 18h30, si c’est l’ heure limite ou un rendez vous. C’est un rendez vous. Alors je lui dis que j’irai juste à l’heure comme ça je vais caser une petite 3h en chemin. On ne sait jamais, la semaine n’est pas encore finie.
L’aire du Mondevert, je peux oublier, le parking est condamné pour cause de travaux. Ils pourraient juste l’indiquer avant de s’engager sur l’aire ce serait bien, je paume quelques précieuses minutes. Je me pose au péage de la Gravelle. Il est 15h, il est temps de casse la graine.
En 3h, j’aurais presque le temps de faire l’ensemble au chiffon Ajax(vitres), y en aurait besoin, mais je me limite aux feux, le minimum réglementaire..
Ces 3h pas une minute de plus passées, je file au Louverné, jusye au bord de l’A81. J’y suis à 30 pile, quai tout de suite, à 19h c’est plié. Des panneaux de pub d’après ce que j’ai compris.
Je retourne sur l’autobahn jusque Vaiges pour finir à la limite du 53/72, à 19h35 au resto l’Etoile des Routiers. 8h50 de volant, c’est pour les 9h10 d’ hier.