Carnet de bord de Avril 2018 | Partager sur Facebook |
5H50, juste quand je commence à peu près à bien dormir, faut y aller. Non pas que j’ai souffert de la chaleur cette nuit, mais plutôt de la maudite technologie merde in sweden. J’ai bien fait fonctionner la clim hier aprèm, tout fonctionnait, puis éteint lorsque je suis allé manger. Je me suis coucher sans rien remettre en route (la clim), et à plusieurs reprise, l’alarme de l’odb à sonné pour indiquer de démarrer le moteur, cause batteries déchargées. Tout de suite contact et coup d’œil à l’odb, ça indiquait 24,4V, rien n’allait mal. A part que ça s’est reproduit 3 fois… 1ere nuit aussi infernale en 4 ans et demi d’exploitation de ce camion. Et en plus avec des batteries du mois de janvier. Bref, va bientôt falloir prendre la quechua et faire la liste des campings pour dormir au calme.
Démarrage à jeun, le resto ne m’a pas branché hier soir, il y a aucun pour relevé l’autre ici sur Rennes.
Je ne vais pas loin, arrêt à la Access sur la 137, pour gazole, ad blue, et raclage du pare brise bien moustiqué (on n’avait plus l’habitude) et le café. Je file sur l’A81, et m’arrête à l’aire de la Mayenne pour la douche, c’est pas bien vieux ici. Et la 30 est validée. Je trace l’autobahn tout le long, j’ai une course à faire ce soir par chez moi. La 104 passe nickelle en fin de matinée, et j’arrive jusque Sézanne pour casser la graine, dans mon camion hein ! Il y a du nouveau, du changement de proprio, mais ça donne pas plus envie de s’arrêter dans ces gasthaus.
Je sors à Ludres, des fois qu’il n’y aurait pas un chat au lavage, mais non, comme les chats sont très propres, ils se lavent souvent, et donc il y en a déjà 2 qui attendent. Je n’ai pas de patience pour cette activité pas forcément indispensable à la survie, alors je file.
Je passe à St Nabord, chez Volvo, récupérer un peu de taf pour les grands weekends à venir, 6 coussins tout beaux tout neufs pour la semi, car tout est d’origine, et avec le 28t que j’ai bouffé cet hiver, ils n’ont pas eu une pré retraite facile, il est temps de remplacer. Et surtout je raconte ma nuit dans l’hôtel viking assez bruyant. Laurent du magasin a justement une note de l’usine sur son bureau avec une campagne de rappel à ce sujet, l’info est déjà remontée que des chauffeurs se plaignent d’avoir été réveillés pour rien, je ne suis pas le seul. Il faut qu’il paramètre le capteur de niveau de batterie qui dit n’importe quoi. Y en a marre quand même. Je prends rdv pour un de ces certainement ponts à venir.
J’arrive à mon bled vers 17h30. Je mets de suite le bleu, la bombe de WD40, et vais en balancer un peu sur les vis, écrous et raccords des coussins à virer, des fois que je sois motiver pour attaquer ce week end…