FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Octobre 2017 Partager sur Facebook
  • Photos
  • gros sacs
    à la mine
    automne sur la route 66
    Fismes, ça secoue
  • Lundi 23 Octobre 2017
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    S 11h50 + 45h = L 7h50. On est bon, je peux démarrer de Mulhouse. 

    Retour sur mes pas de samedi, direction Etupes. Ici ça ne pleut pas. Sur l’A36,je guette si le copain Juju monte vers la Forêt Noire. Niet, j’arrive au technoland sans l’avoir croisé. Soit il est parti très tôt, ou soit très tard.

    Je vais chez le gros logisticien toujours filiale SNCF à côté de l’ex filiale PSA, qui elle est devenue filiale des chemins de fer russes.

    Le dépôt est immense, avec plusieurs fournisseurs stockés là. Je fais 3 tentatives avant de trouver la bonne porte du fournisseur. Il pleut bien, c’est énervant. Une fois trouvé, à quai de suite, ça vide rapidement. A 9h20 j’appelle Mulhouse, comme lundi dernier, c’est encore Christine qui attrape la pochette où mon programme m’a été concocté vendredi. C’est du Wittenheim pour la Normandie. 

    C’est aux engrais, c’est à l’ancienne mine de potasse. Un bail que je n’y suis pas venu. En tous cas pas une seule fois depuis que je suis en natio.

    Ça va, pas foule à cette époque. C’est du bigbag, ça ne traîne pas, j’y passe à peine une petite heure. 2 sangles à la fin et basta. Il fait beau, c’est parfait pour la photo du puit.

    Je me sauve à 11h15 avec 27t600, direction Motteville via le massif vosgien pour commencer. 

    Cernay, Wittelsheim, qui est contourné, je ne savais même pas, ça change, et le Bussang, col le plus approprié à la charge.

    Arrêt pain à Ramonchamp, où c’est fastoche de garer. 

    Pour le déguster, je vais à mon coin plus tranquille avant Rupt, sur l’ancienne route 66, au calme.

    Je repars, pour peu de temps, le gazole sonne la réserve et pas trop chaud pour tenter jusque la Total de Pagny, en lourd, la conduite rationnelle c’est moins évident, alors je sors à St Etienne les Remiremont pour aller à Michel Edouard. C’est pareil, ici y a l’adblue aussi. Il pense à tout l’épicier de Landivisiau.

    Je n’ai pas trop hésité sur l’itinéraire, ce sera N4, forcément, mais après via la Picardie, la 31, c’est bien au nord de Rouen mon bled.

    Sieste à l’aire du Barrois, le lundi c’est obligatoire chez moi.

    La 44, Reims, ça passe bien, malgré l’heure de fin d’aprème. La 31 ça peut aller, à part qu’on est toujours aussi secoué. C’est encore le genre de route qui ne m’emballe pas des masses. Et avant Compiègne, on est quasi à l’arrêt dans les bleds. Si ça se trouve même passer via Paris  aux heures de pointe n’est pas beaucoup plus long.

    Je finis péniblement à Beauvais, dans une zone mi commerciale mi industrielle proche de l’accès d’autoroute. Une place que j’avais repérée l’an passé est occupée par 2 bagnoles mais je trouve pas loin de là, le long d’une jardinerie, ma foi c’est pas marqué interdit.

    Il est 20h45, 9h59, un lundi qui va bien quand même.