| Carnet de bord de Mars 2018 | Partager sur Facebook |
6h, c'est blanc dans les prés, sur les arbres, c’est joli. Et pas de mail de la fédération ou de messages d’alerte du bison futé de FDR, le feu est vert.
La neige disparait des bords une fois St Loup passé. J’ai repris la même route qu’hier, Vauvillers tout ça.
Faut 2h15 pour arriver au fournisseur emboutisseur à Humes, au nord de Langres.
Y a des pecos comme souvent chez les fournisseurs de pièces auto. Mais ça dort, juste un qui vide devant.
Ça vide au tire pal, c'est pas la mort, c’est léger des 00112.
Vide 1h30 plus tard quand même, direction le suivant, Fronville sur la route de St Dizier, la 67.
Ça ne traîne pas chez le fournisseur de suspension. Rechargement pas loin, près de Wassy, à Brousseval à une vieille fonderie, comme toutes les fonderies. Il est 11h30, c’est mort pour midi, ça charge dans un cul de sac de l'usine, on pourra pas tous y aller en même temps.
Enfin à 13h et quelque c’est parti, c'est 4 grosses pièces, 2 sangles chacune. C'est bien crade au sol, faut éviter de laisser tomber les sangles. C’est l’ambiance fonderie quoi.
J’en repars à 14h, direction St Dizier par la traversée de Wassy où il y a une autre fonderie, et un passage étroit dans le bled.
On retrouve la N4, et c'est pas plus mal avec 24t. Quoique 24t ça fait vachement light par rapport à 28t, tout s’en ressent, la conso.
Tout ça ne fait pas rentrer trop tard. Tellement tôt que la place de mon bled est encore bien encombrée de voitures de papy mamy, y doit y avoir Scrabble ou parties de dames. J’arrive à me faufiler et tout va bien !