Carnet de bord de Juillet 2018 | Partager sur Facebook |
Oui,ça a chauffé. À 3h15 il fait encore 21. 1ere fois que mets à profit la clim sur une grande période cet été. Il reste encore 24,1V à l’odb, c'est convenable. Bon, il y a eu une pause hier soir, j’ai pris un peu le frais en faisant une petite balade de part et d’autre de la francilienne, et j’ai pu retrouver le camarade ardéchois, Michaël, qui coupait à Combs la ville. C'est bien, le 77 ça doit lui changer du 07! On a bavardé 20’ peut être, et j’ai repassé la 104.
Décollage à 3h30, N36, N4. Ça roule mais c'est plus ce que c’était cette route de nuit, il y a des ayatollah du 75. Ne nous fâchons pas, on double quand on peut et on passe à autre chose. Et puis la N4 dans le sens Paris - Province, ça va toujours mieux au niveau du mental. Sans parler du lever de soleil qui se profile aux environs de Vitry.
Arrêt à Perthes, comme un mardi matin pour la bonne douche et le pain beurre que j’estime toujours mérité.
Je croise plus loin un revenant d’un doublé weekend bavarois,Tim, bravo à lui. J’aime bien l'Allemagne, la Bavière, sa bière, mais un seul me suffirait déjà !
Pas ennuyé à Nancy, je fonce via le département des Vosges et sa N57 et son col du Bussang.
J'arrive à Mulhouse un peu avant 11h à la Peuge, direction l’emboutissage, après avoir bavarder comme souvent ici à l’heure ci, avec Philippe, un gars de la Bresse qui vient ici tous les jours depuis chez quelques fournisseurs vosgien,en attendant la proche retraite au printemps prochain.
C’est la pause bien sûr, c'est pas les types des bobines que mes robots concernent, mais plutôt du monde de l’outillage. En place à 11h30, c’est très long à vider, précautions oblige. Une bonne heure plus tard, je peux aller au joyeux 4C1, pas l’heure idéale. Bref j'ai droit aux 2 équipes pour traiter les affaires, juste 5m d’emballages pour le 84. J’ai eu le temps de casser une graine au moins je repars à 13h45, ça allait faire bientôt 3h que j'étais dans l’usine. Pas grave, je leur fais plein de bises quand même. On complète à l’ex filiale, de l’autre côté de la voie ferrée pour du papier à destination du 11, mais y a un camion qui prend le quai, c’est pas grave, c'est mon camarade Christophe du 73. Et comme ça ma tournée se dessine. Il faut à tout prix vider le 11 demain, avant 15h, alors on fera le 84 en 2eme. On trouvera bien une bricole pour compléter entre les 2. Tout est possible avec Pascale. Mon tour vient, c'est pas le cariste le plus rapide, même si c’est un bon gars. Il ne tarit pas d’éloges sur mon attelage entre chaque palette, c’est sympa mais ça va pas vite. Je reprend un peu la discussion avec un autre collègue pour que le cariste avance un peu. C’est Stéphane, le copain du régional qui ramène toujours et encore du papier. Comme avec Christophe, on a plein de choses à se dire en cette période particulière d’avant vacances.
Bref je repars avec du mal un peu avant 15h30, je suis un peu à la bourre, surtout que je passe au gazole à Illzach encore en partant.
A36 jusque Baume et route par Nancray, y a 10t. Je croise un autochtone, retraité aussi,Bata sur les hauteurs de ses terres.
Je fonce pour boucler avec 9h53 à Montchauvrot où les ficelles sont enroulées. Ben oui il est 18h30! Grand temps pour un douche aussi.