FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mai 2016 Partager sur Facebook
  • Photos
  • le bois avance
    les cuisines Sch.....
    trop cher le tunnel
    nom Alsacien, mais c'est les Vosges!
  • Mercredi 25 Mai 2016
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    Bien dormi, juste réveillé par quelques zincs au matin me rappelant que je suis posé à proximité de Basel Mulhouse Freiburg Airport. 

    On se serait cru dans un film d’une bande de 4 copains d’Yves Robert. Mais ça allait, rien ne bougeait dans la cabine en déjeunant.

    Les commerçants arrivent à leur commerce à 7h45, et à 50 on me suggère déjà de rentrer. Merde, je vais pas leur dire que ça m’arrangerait d’attendre 8h06... Bon, on va faire plusieurs départ arrêté de 30 sec...

    8h06, c’est vide, avec le bonne journée, bonne route tout ça, bref, qui fait toujours plaisir. 

    Je sors et donne le coup de soufflette sur le parking en travail, pour dire que.

    La prochaine grande surface, j’ai fais la même lundi à Dardilly, mais là c’est Kingersheim. RV à 10h15. J’ai un peu d’avance, j’y pointe à 9h. Ils me vident de suite. C’est des Kings quoi.

    Pour participer à la psychose nationale, en bon gaulois, je vais compléter mon gazole à Illzach. Pas de files d’automobilistes hystériques, juste le prix qui a grimpé un peu depuis vendredi.  

    Direction la Peugie toute proche pour le reste, 2 magasins, le parc à vides, où je vide de suite également sans tortiller, et en mécanique, d’où viennent les emballages refusés lundi à Belleville. Ils sont étonnés, cherchent la référence exacte de ces emballages, à peine s’ils me croient quoi. Mais ils les reprennent tout de suite quand même.

    10h50, je sors de là et file au nord, dans l’enclave du haut rhin en val d’Argent, pour recharger du binz en bois comme vendredi. C’est l’époque.

    Dans la vallée, un camion polonais monte tranquillement devant. Il va à la boîte aussi. On arrive à 11h50. C’est portail clos. Je casse la croûte. La voisin polonais ouvre ses côtés, pour dessangler, car visiblement, il ne charge pas, mais vide plutôt....

    13h, ça bouge, emplacement, et chargement de 3 lots pour la Picardie. C’est pas que c’est lourd, mais ça fait château de carte les empilages de barrières ou de jardinières, alors quelques sangles sont nécessaires. 

    14h30, c’est reparti côté Vosges. Via le tunnel ? Nooon, trop cher, via le col de Ste Marie plutôt. A part le bled un peu chiant à passer, le col c’est du beurre, surtout qu’il est autorisé si on charge dans la vallée. Il fait beau, c’est idyllique de verdure.

    Le reste se fait au taquet, 10t oblige. 

    La N4 aussi, je double même des 67.

    Je croise un célèbre jeune bedot, spécialiste de la Picardie et de la Catalogne, Mich, entre St Dizier et Vitry..

    J’arrive en 4h35 au relais de Ste Marie après Berry au bac sur la 44, il est 19h05. 

    Y a du peuple pour la douche, en attendant, je bavarde un peu avec Romain qui a un joli Fh3 d’une maison du 38 nommée Giraud à l’envers. Il repart après.

     Ensuite, je tombe sur 2 vosgiens que je connais bien, donc tout va bien.