FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Septembre 2017 Partager sur Facebook
  • Photos
  • la Knapen de la maison Steff
    Ne tirons pas sur les ambulances de la cgt
    N19 liner
    bien posé
  • Lundi 25 Septembre 2017
  •  

    Démarrage à 4h35, moteur presque encore chaud, enfin celui du F12, rentré à 20h hier soir. 

    Même pas les 9h réglementaires. Et non, en concours, on n’est pas soumis à la RSE.

    C’est pas mes habitudes de partir si tôt dans le sens Mulhouse, mais là y a rdv à 6h à la base de Dornach. J’espère qu’ils ne vont pas me dire que c’est que 11h quand je vais arriver.

    Via col d’Oderen, en mode nocturne, mais sans aller trop vite, y a quand même 16t, mais surtout le gibier fait son retour et c’est rare que ça traverse la route sur les clous.

    J’en ai vu, mais pu mettre dans la boîte à images.

    A l’heure ci c’est que du bonheur, mega zone verte dans toute la vallée de Thann.

    J’arrive à 5h45 à la barrière et interphone de la base, n° de commande, et verdict : c’est bon, j’ai gagné le quai 4. Ouf, ça fait plaisir. Je m’en fiche, y aurai eu encore couac horaire, j’appelais Pascale sur son 06 !

    A quai on me confie déjà un transpal, et j’attaque en attendant le réceptionnaire. Il me prête main forte en arrivant et ça ne traîne pas. Je rabâche, mais ici c’est toujours assez sympa je trouve.  Vide à 30, obligé d’attendre quelques minutes pour boucler 45.

    Je n’ai pas besoin d’enquiquiner Pascale sur son 06 car elle m’avait déjà prévu le taf vendredi. C’est des emballages à la réserve pour le 44. Et même le retour derrière. Il fait bon bosser comme ça. 

    Etant presque en avance, je vais faire le gazole tout de suite, à Illzach. Et une fois n’est pas coutume, je fais fumer la business car plein complet. Bref, comme un automobiliste lambda,  j’alimente un peu la pénurie en modifiant mon habitude.

    Je rentre à l’usine à 7h30, à la réserve, chez Carlos, qui est déjà là, mais un camion aussi est déjà en place. Ça va, c’est un Steff, David avec son beau 540 phase 3. Il vide des emballages avec son FM Knapen. Il est presque vide quand j’ai à peine fini d’ouvrir. Ça va vraiment bien les parois latérales qui s’ouvrent. Surtout que sa semi a 11 ans.

    Carlos enchaîne dans la foulée, je suis quitte à 8h10. C’est pas beau ça, des fois à cette heure là on bouchonne dans la vallée. Là c’est du plaisir, direction St Nazaire, y a plus qu’à rouler.

    Ici c’est bien gris faut bien changer de départements 2 fois avant de retrouver un peu la lumière du soleil. Entre temps petit bouchon à la sortie Sévenans, y a une petite manif, des ambulanciers qui donnent des tracts. Ça fait quand même un sacré bouchon en venant de héricourt.

    La N19 par beau temps, c’est plutôt sympa. Y a les travaux du contournement de Port sur Saône qui sont en route. On n’y passera plus, snif, mais on gagnera 10’, youpi.

    Le reste, c’est un vrai billard cette 19, merci le tour de France.

    A5 à Langres. La flotte arrive avant Troyes. Ben oui, forcément, j’ai lavé.

    Arrêt 35’ à l’aire de Troyes le Plessis pour manger un morceau.

    Je garde l’autoroute plus loin que d’habitude, jusque Courtenay, il faut, y a le boulot derrière. Bon, je m’offre quand même une micro sieste de 15’au péage de la sortie, ça pique du nez.

    Pas de blocage ou autre opérations escargot en vue pour le moment, ni même à Orléans. 

    Encore un petit bout d’autoroute, l’A10. Et micro sieste à nouveau, 15’ pareil, à Blois. J’ai vraiment du mal cet aprèm. Faut dire, je n‘ai pas bu un seul autre café depuis ce matin chez moi à 3h.  

    Au revoir l’A10 à la sortie Château Renault et route de Angers par la bonne RD766. Pas de resto dans les parages immédiats, pas grave, je m’arrête comme je peux à côté d’une boite, d’une caserne de pompiers et d’une gendarmerie à la sortie de Neuillé Pont Pierre. Il est 17h35, donc validage d’une 11 en vue, et ça le lundi, c’est une bonne nouvelle.