Carnet de bord de Octobre 2017 | Partager sur Facebook |
6h15, après un visuel des pneus, tout va bien, je peux y aller sans avoir à attendre 8h.
C’est le brouillard, tout du long. Heureusement, c’est tôt pour passer Nancy sans perdre de temps.
Au poste, ils disent qu’il y a un carton à Ancerville, en effet y a rouge sur map, mais pas méchant. Je fais 15’ à l’aire du Barrois pour suivre l’évolution. Ça s’améliore, ne reste que le petit bouchon dû au basculement de chaussée pour travaux qui ne seront pas du luxe. C’est bête, on ne passe pas l’ancienne route qui passait au nord de St Dizier, j’aimerais bien y passe une fois, voir si y a des zi pour garer, je ne me souviens plus du tout. Déjà qu’à Ligny, à la sortie est, ils ont mis de gros cailloux où y avait moyen de garer à la lumière le long de la route, sans gêner quoi que ce soit.
La traversée de Vitry est bien pénible, ça bouchonne presque. Bref, ce n’est pas une moyenne de la night.
J’arrive au pauvre parking, enfin vaste refuge au niveau de Fontenay en 4h15.
Il est tôt encore, mais cassage de graine, pas le choix.
Bonne nouvelle, pas trop de rouge sur la région pourrisienne, je vais quasi tout droit, via A4. ça bouche un peu vers le carrefour de l’A86, comme d’ hab mais je continue tout droit sur le périf qui n’est pas trop vilain. Ça coupe quand même. A part qu’un léger accrochage vient d’avoir lieu en rattrapant l’A13 au début du tunnel Ambroise Paré, 2 voies d’occupées, juste paumé 10’. 1h15 depuis la N4, c’est pas mal.
Je file tout debout sur Rouen, et descente sur Grand Couronne. Je pointe au 1er transitaire, chez Canal+ et C8 réunis vers 14h. Pas de bol, c’est pas le n° de bâtiment que j’avais pour adresse, c’est derrière. Ça va, à quai de suite, les palettes pour la Guyane sont vites déchargées. Je ne sais pas si ils ont le même salaire que Cyril hanouna, mais ils sont efficaces.
Le 2éme, pas loin de là, juste à trouver quel côté du bâtiment c’est aussi, ça change souvent aussi. Ils sont débordé là, pas de place sur le quai, il me renvoie à l’opposé, où je m’étais présenté 5’ avant, c’est un concurrent, mais ils sous traitent ensemble. Les palettes pour le Gabon sont vides à presque 16h, et je n’ai même pas pu caser 30’ avec ces allers et venues surtout que j’ai zappé de remettre sur lit en allant fermer les portes, grave erreur.
Je file, on verra bien.
Caen est affiché à encore plus de 100 bornes, je ne voyais pas ça si loin.
Tant pis, obligé de faire 30 à l’aire de Beuzeville.
J’arrive à Caen à presque 18h. C’est juste ici que enfin le brouillard laisse place au soleil qu va bientôt aller se coucher. Une fois que le gars de l’entrée a pigé où allaient mes emballages proto, il me dit que je pourrai rentrer à 19h30 pour tout faire en même temps. Aussi bien, que je ne peux pas encore rentrer, ressortir pour re rentrer, les minutes tourneraient inutilement et pour le créneau de 20h30, c’est parfait. Y a le temps de faire un peu de paperasserie.
Même pas eu le temps de casser la graine, je rentre à 19h30, vide les quelques emballages, et file aux expé. Il n’est pas 20h, ils attendent un Poissy plus urgent que moi.
En place à 20h15, ça charge assez vite les 1920 pivots répartis en 48 conteneurs, je sors à 20h50 pour me poser en face, dans la cour d’une boîte se trouvant chez anciennement les Moulinex. 9h05, ouf.