Carnet de bord de Septembre 2017 | Partager sur Facebook |
Bien dormi, si bien qu’au réveil, je ne savais pas où j’étais, ni où j’allais, il a fallut un temps pour émerger. Ça ne m’arrive pas souvent. Décollage à 4h45. Pas trop tôt, pas trop tard. Le mieux pour livrer le 1er en fin de matin. Le mieux serait de ne jamais trop traîner dans ces contrées.
Les pneus mi usure, ça se sent tout de suite par rapport au slics, étant calé à 84 à l’odb, je constate que ça traîne plus pour doubler derrière, alors je descends à 82, et ça comme ça tout ceux qui veulent doubler y vont sans hésiter. J’ai remarqué qu’en baissant la vitesse sur c’te route, je suis plus zen. Car à la régule, y a toujours des collègues pour qui ce n’est pas assez, et qui collent.
Bon, je suis sympa, et pas encore devenu un ayatollah à la Mauffrey calé à 79 en tout temps, sur le double sens je m’adapte et appuies, monte les km/h, je ne veux pas devenir la bête noire du Strasbourg Paris.
Comme un vrai Strasbourg Paris liner, je m’arrête au relais de Beauvais pour la douche et le pain beurre, 30’.
Je continue tranquille, en matant le map, le sytadin, c’est bien rouge et partout, 104, 86...
Je garde la N4 jusqu’au bout et achève tranquille une bonne 30 à la Total avant Pontault Combault.
La 104 a déjà verdi, mais pas l’A4 ni 86, alors grand tour par la 104 pour attraper la 86 au nord. C’est pas trop moche, au niveau circulation je veux dire.
Ça freinotte un peu vers le stade de France, mais je n’aurai mis qu’une 1h depuis la N4 pour arriver au fournisseur à Villeneuve la Garenne, le long de l’A86. Je l’ai déjà fait l’an passé, il a juste changé de nom depuis. Un peu d’attente dans la rue car des camions qui attendent pour charger, bouchent le passage dans l’entrée où se trouve le quai.
Une fois rentré sous le hall, juste 5’ pour sortir les 3 piles de bac. Un peu pénible de venir juste pour ça alors qu’ils en ont des dizaines d’avance, mais c’est comme ça depuis toujours, c’est des logiciels qui gèrent les stocks qui sortent les demandes d’emballages.
Je me sauve à 11h25, direction Buc dans le 78. Je ne passe pas me faire payer le café à la proche rue des Caboeufs, et puis là bas il ont peut être autre chose à faire que de payer des cafés, il y a la pénurie de camions à gérer déjà.
Pour aller au 2eme,pas 36 routes, l’A86 et la N13. Là encore, ça roule super, même une bonne zone verte me couvre pour n’avoir quasiment pas à s’arrêter le long de la Seine, cool. Vite sur l’A12 et au sud de Versailles.
Y a une route qui descends et traverse un peu Buc. C’est joli par ici. La zi est au sud du bled, après l’aqueduc et l’école de pilotage.
J’ai déjà fait ce fournisseur mais alors ça date, genre avec le Fh12 Transak. La rue est entourée sur mon guide atlas Plan Net de l’IDF. Mais je ne reconnais rien, et m’adresse du mauvais côté de la boutique. Une fois au bon quai, un poil d’attente, mais pas assez pour attaquer le déjeuner. A 13h15, les boîtes plastiques destinées aux feuilles d’étanchéité qui se collent entre la portière et sa garniture sont déchargées. Celui qui roule en Citroën et qui a ses lève vitres qui tombe en panne comprendra, cette feuille n’est pas réutilisable puisqu’elle se déchire au démontage...
Je quitte cette grande zi par le sud, via Palaiseau et la 118. Grande zi, mais aucune place à envisageable pour éventuellement se poser le soir. Enfin, depuis la 118 ou l’A86, ce serait un peu de la bêtise, vu les routes de Chevreuse que c’est.
Direction Orléans enfin Meung sur Loire pour le dernier, rdv à 17h. Alors je m’arrête quand même casser la graine à la station BP tristounette du début de la 104 après l’A10. ça flotte bien là, mais ça roule bien, faut pas chercher à comprendre.
Un peu de N20, Etampes, et ses restos qui sont soit Portugais, soit fermés.
Le soleil revient avant Orléans. Un bout d’A10 et 1ere sortie après l’A71. A la plateforme de bureautique, il n’est pas 16h, mais j’ai un quai tout de suite. Pareil, ne pas chercher à comprendre. Pascale est toujours en stress avec ce client chiant avec les horaires. Mais ça fait 2 ou 3 fois que je constate qu’ils prennent largement en avance. Après, je n’ai jamais essayé d’arriver largement en retard. Vide à 16h35, je sonne Pascale justement, j’avais déjà mon retour, pas tout à fait complet, mais c’est prévu demain, et il me reste une bonne heure à rouler. Oui je peux tenter ce soir, mais on ne pourra pas vider demain, alors on essaiera de compléter si il y a. Sully sur Loire, y a 70 bornes. Je tente par le sud de Orléans, Olivet.... Car le client à Sully se trouve sur la RD qui vient par là. Mauvais pioche, y a un bled qui fait carrément suer, d’abord interdit, puis un pont plus loin. C’est St Cyr en Val. Après un con tour pas possible, je suis enfin sur la route de Sully, mais l’ heure a tourné, alors j’abandonne sagement l’idée d’aller au client ce soir, et m’arrête à 15 bornes, à Vienne en Val. Une minuscule zi, accolée à un ITM encore !
Il est 17h45, parfait pour valider 11.